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Description
Alan Wake est un mélange de jeu d'action et de thriller psychologique. Présenté dans le style d'un thriller télévisé, Alan Wake porte la marque de Remedy quant à la narration et les séquences d'action palpitantes. À mesure que les joueurs s'enfoncent de plus en plus profondément dans le mystère, ils seront confrontés à des obstacles titanesques, des retournements de situation et des moments de suspense. Ce n'est pas uniquement en maîtrisant le mécanisme de combat basé sur la lumière qu'ils resteront à l'écart des ténèbres qui se répandent sur Bright Falls.
Avec le corps d'un jeu d'action et l'esprit d'un thriller psychologique, l'atmosphère intense d'Alan Wake, son histoire profonde à multiples interprétations et ses séquences de combat incroyablement tendues livrent aux joueurs une expérience de jeu à la fois originale et divertissante.
Version PC améliorée
- Inclut les épisodes spéciaux d'Alan Wake “The Signal” et “The Writer”
- Découvrez le nord-ouest du Pacifique d'Alan Wake avec de plus grandes résolutions et une fidélité supérieure à la version Xbox 360.
- Support et personnalisation de la souris et du clavier ou si vous préférez jouer avec la manette Microsoft connectée à votre PC, vous en avez la possibilité !
- De nombreux réglages graphiques personnalisables et support des formats 4:3, 16:9 et 16:10 !
- Moteur multicœurs qui tire profit des processeurs quadricœurs.
- Des caractéristiques additionnelles demandées par les fans comme la profondeur de champ ou l'interface masquable.
- Fonctionne avec le mode à 3 écrans AMD Eyefinity 3D.
- Fonctionne avec la 3D stéréoscopique NVIDIA NVISION2.
Configurations
L'actualité du jeu
Alan Wake franchise
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Les avis des joueurs
Les meilleurs
coridalement
baba
- le jeu ne se lance pas
J'ai eu du mal à savoir ce qui été vrai (dans la vrai vie) ou faux ou encore ce qui venait de l'histoire écrite par Alan wake de son livre, faut vraiment accroché au jeu et suivre sinon on aura trop du mal pour cerné l'histoire du jeu,
en tous cas pour l'avoir payer 3 euros je suis content pour 10h de jeu c'était nice, cool de découvrir et faire un jeu rétro qui date de presque 15 ans , c'est fou le jeu reste très cool à faire malgré des mécaniques de souris pas folle et de sensibilité pas forcement agréable mais ce n'est rien en tous cas :)
J'ai hâte de faire le 2 mais je sais qu'il feras plus flippé que le 1 sachant que le 1 n'est pas vraiment un jeu d'horreur plus un jeu d'ambiance horrifique / démoniaque
- ambiance
- histoire
- scénario
- mouvement souris
- beaucoup de marche pour rien
A noter des zones qui semblent vaste et parfois semi ouverte empêchant le coté redondant des niveaux couloirs qu'on peut trouver dans d'autre jeux.
Coté durée de vie 6 chapitres découpés en épisode façon une série TV soit une dizaine d'heures.
Un bon petit jeu d'action a faire et avoir dans votre bibliothèque Steam.
- Le côté Steven king
- Les niveau
- Le système de gameplay
- Pas grand chose
Je regrette ne pas y avoir joué à sa sortie, je peux comprendre qu'il a tant fait parler de lui à l'époque.
C'est personnel, mais l'ayant joué après Control, que je n'ai pas vraiment apprécié, ce jeu m'a rappelé beaucoup de similitudes avec ce titre, ce qui a probablement influencé mon expérience. Je ne serai désormais pas un grand fan.
Ma note : 13/20 mais je ne peux plus être objectif
- Le côté paranormal
- L'histoire, assez sombre
- L'univers du personnage qui ne m'enchante pas
- Fait pour la manette, laborieux au clavier/souris
Les plus récents
- L'histoire vraiment prenant
- Bande son magnifique
- Visuellement pas déconnant
- Peut être répetitif pour certains
- On reste sur notre faim
Les deux premiers mots prononcés dans Alan Wake forment un nom. Un nom très connu : Stephen King. Bourrée de références, l'histoire écrite par Sam Lake assume pleinement ses influences, et les utilise au passage pour s'ancrer dans la réalité. Incontestablement, Bright Falls nous renvoie à l'image du Maine décrit par King dans ses chefs d'oeuvre du cauchemar, et Alan Wake en a bien digéré les ficelles, habilement tirées comme autant de filins de marionnettiste, jusqu'à l'appel du Major Tom qui conclut l'aventure sur le son du mythique morceau de Bowie. Moorcock, Ellis, et d'autres grands noms ici et là... il n'invente rien, mais restitue à merveille, d'autant que manette en mains, si le graphisme lui-même ne casse pas trois pattes à un canard, les effets lumineux et le soin de certains détails comme la brume ou le vent agitant les feuillages ancrent le joueur d'autant plus fermement dans l'univers qu'il est, bien sûr, acteur de son propre cauchemar. Alors, je l'ai dit : graphiquement, rien d'exceptionnel à la base (voire quelques éléments plutôt datés) - à l'exception des lumières, centrales à l'histoire et à l'univers, dont la gestion est aussi exemplaire que celle de la narration. Elles font sortir immédiatement du lot les moments forts du cauchemar. Un cauchemar qui peut certes rappeler ceux de Silent Hill ou de Condemned, puisqu'ils partagent avec Alan Wake plusieurs éléments, mais ce dernier ne joue ni complètement la carte de l'angoisse collante, ni celle des sursauts réguliers. Quelque part entre les deux, Alan Wake alterne réalité et cauchemar, moments de solitude et discussions avec les autres personnages, pour obtenir un rythme d'autant plus savoureux.
Retour aux fondamentaux
Si la narration et l'univers d'Alan Wake usent de nombreuses techniques pour sortir du lot habituel des jeux vidéo et mieux happer le joueur, le gameplay, lui, s'en tient à des bases aussi solides qu'éculées. Les menaces protéiformes affrontées par l'écrivain se combattent avant tout par une arme décisive : la lumière. Le faisceau d'une lampe torche ou d'un projecteur, ou l'éclat de fusées éclairantes, de feux à main ou de grenades aveuglantes interviendront toujours, et souvent aux côtés de bonnes vieilles armes à feu. Le reste tient en quelques vagues puzzles basés sur des mécanismes simples, ainsi que l'agrément de véhicules qui pimentent quelques passages mais permettent surtout d'arpenter des sections de l'univers de Bright Falls nettement plus vastes qu'on n'aurait pu l'imaginer au début de l'aventure (et justifient du même coup certaines faiblesses graphiques). Cette exploration tient une place de choix : elle récompense souvent le joueur, au début par des petits ajouts narratifs malins, ensuite plus par des bonus de munitions, des thermos de café à collectionner, ou des pages perdues du manuscrit de "Departure". Elles valent d'ailleurs à elles seules qu'on s'enhardisse pour sortir des sentiers battus, au risque d'être assailli par les Ombres. Certaines ne peuvent être obtenues qu'en mode "cauchemardesque" ; les réunir toutes et découvrir le récit du livre puis, petit à petit, son implication dans ce qui se passe à l'écran, c'est aussi un régal qu'il est difficile d'occulter. Impossible, de même, de ne pas écouter en entier les passages à la radio de Pat Maine, ou de regarder les épisodes de la "Zone X" sur les écrans télé - d'autant que pour une fois, la VF est superbe, avec des voix bien connues d'acteurs chevronnés. Enfin, la lecture de panneaux historiques ou d'affiches achève de donner corps à cet univers décidément réussi.
- Ambiance incroyable,Effets sonores flippants
- Quelques scènes anthologiques
- Emissions de télé, de radio… sacré sens du détail
- Réalisation hyper soignée Gestion des ombres et lumières
- Durée de vie décente ,VF réussie
- Linéaire, et répétitif sur la fin
- Manque d'interactivité des décors
- Héros un peu maladroit
- Personnages secondaires sous-exploités,Séquences véhiculées sans intérêt
- Trop de questions, peu de réponses