Assassin’s Creed Mirage - Europe
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Description
A propos du jeu
Basim devient membre de la Confrérie des Assassins, qui se rebelle contre l'Ordre des Templiers, décidé à instaurer une paix forcée à ses conditions et sous son contrôle. Le jeu commence en 861 après J.-C., soit 330 ans avant le premier jeu médiéval Assassin's Creed. Ce prequel est en quelque sorte un hommage au premier jeu, et les fans reconnaîtront des similitudes dans les décors.
Le jeu met l'accent sur le parkour, les assassinats, la furtivité et l'ancienne Bagdad, avec son assortiment dense de grands et hauts bâtiments, créant un environnement parfait pour se promener tel un acrobate. Comme toujours, sauter sur les toits ou grimper sur les rebords de bâtiments se fait sans effort. Il existe toujours plusieurs options pour atteindre votre objectif, ce qui vous permet d'y aller à fond, de manière effrontée, ou de vous frayer un chemin furtif jusqu'à votre cible.
Basim dispose de nouveaux équipements qui l'aident à combattre et à s'échapper des coins les plus étroits, comme une mine de détection, qui peut libérer un nuage de fumée couvrante lorsqu'elle est déclenchée,, et une fléchette qui permet de tuer silencieusement et avec précision. Le voyage de Basim commence lorsqu'il se place sous la protection de Roshan, qui lui apprendra tout ce qu'il doit savoir pour devenir un Hidden One (membre de la Confrérie).
Le jeu vous en apprendra beaucoup sur l'histoire riche et mouvementée de Bagdad, avec de nouveaux articles et de nouvelles informations à découvrir au fur et à mesure que vous progressez. Ces informations ont été rassemblées par des experts en la matière : des photos provenant des collections Khalili, de la collection David, du Shangri La Museum of Island Art, Culture and Design et de l'Institut du Monde Arabe, grâce à des subventions de divers organismes culturels et gouvernements.
Mirage met davantage l'accent sur la furtivité sociale et les capacités de parkour que les versions précédentes du jeu, car Basim n'est pas un agent formé comme les autres protagonistes. Par conséquent, la furtivité et la tactique sont essentielles, la discrétion étant souvent la meilleure partie de la bravoure. Les coups infligent de sérieux dégâts à Basim, ce qui aura un impact sur ce qu'il peut faire jusqu'à ce qu'il soit guéri (ce qui n'est pas un exploit rapide et facile). Lorsqu'il attaque, les attaques de guérilla rapides sont son meilleur atout.
Basim n'est peut-être pas puissant ou bien entraîné, mais il est exceptionnellement rapide, comme en témoignent les éléments de parkour du jeu. Basim peut se cacher des ennemis grâce à certains outils, comme la balançoire de coin, et il peut, lorsqu'il a le bon timing, réussir un coup qui tue plusieurs fois - mais il doit le faire correctement ou être prêt à s'enfuir !
Il est important de noter que le jeu se déroule un siècle avant l'inauguration de l'Assassins Creed. La forteresse d'Alamut est en cours de construction - très lentement - et ce n'est qu'une fois qu'elle sera achevée que les Cachés sortiront de l'ombre et deviendront les Assassins.
L'essentiel
Un ensemble de personnages inspirants dans le jeu s'unissent pour façonner le destin de Basim - et tous peuvent être plus qu'ils ne le paraissent. Ce jeu renoue avec les racines de la série, en mettant l'accent sur la narration linéaire et le jeu furtif, et un peu moins sur les caractéristiques du jeu de rôle.
La carte de Bagdad est un monde relativement petit, mais Basim dispose d'un vaste arsenal d'armes et d'outils, dont la lame cachée caractéristique des Assassins, des bombes fumigènes, des couteaux de lancer et des fléchettes empoisonnées, toutes des armes conçues pour la ruse et la furtivité plutôt que pour la démonstration de puissance.
Les armes et les outils de Basim peuvent être améliorés grâce à un arbre de compétences, qui vous permet d'adapter les armes à vos besoins. Basim a un aigle en guise de compagnon, mais dans ce jeu, les archers ennemis peuvent viser son oiseau, alors n'utilisez pas trop la Vision d'aigle quand il y a beaucoup d'ennemis dans les parages.
Un nouveau pouvoir mystique appelé Assassin Focus permet à Basim de ralentir suffisamment le temps pour attaquer plusieurs cibles à la fois. Au début, il ne pourra éliminer que deux personnages ennemis, mais, comme toutes ses autres compétences, la concentration de Basim peut être améliorée et augmentée jusqu'à ce qu'il puisse éliminer plusieurs ennemis à la fois.
Basim trouve aussi fréquemment des perchent lui permettant de franchir des distances presque impossibles, de toit en toit. Les animations sont fluides et donnent une impression de réalisme et de puissance satisfaisante.
Le joue a une duré de vie de 20 à 30 heures: 20 si vous rushez afin de le finir au plus vite,30 si vous préférez prendre le temps d'explorer en profondeur et finir toutes les quêtes secondaires sur votre chemin.
A propos de Baghdad
Dans le jeu, Baghdad présentes quatres quarties principaux et donne un aperçu de Alamut, la forteresse de montagne pour les Hidden Ones - basé sur un lieu réel, un château construit 840 après JC.
Les quatres quartiers sont :
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Configurations
L'actualité du jeu
Assassin's creed franchise
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Les avis des joueurs
Les meilleurs
Ecartez les yeux et considérez sérieusement cette revue si vous vous interrogez sur la nécessité de prendre un énième Assassins Creed......
Avant de dérouler à la conclusion finale, prenez en compte que je me positionne parmi les fan de la série AC depuis son lancement avec notre cher Altaïr et que j'articule mon avis selon ces bases.
Assassins Creed Mirage est chronologiquement intéressant étant donné qu'il se déroule juste après la création du crédo vu dans AC : Origins et nous propose alors une vision des premières années de celui-ci dans un Bagdad malmené par les populations abassides et par le règne de l'Ordre.
Basim, découvert par AC : Valhalla, est très interessant et apporte un réel sens à ce que représente la confrérie des assassins, élément fondamental qu'il manquait avec le RPG qu'était Eivor. Son histoire est bien écrite, sa personnalité travaillée et l'on s'y attache assez rapidement.
La région, les environnements choisis dans cet opus sont recherchés, détaillés, soignés et cela fait du bien. On sent que les développeurs ont prit un soin traditionnel à reporter un Bagdad chaotique du IXe siècle et le tout dans un package graphique sublime. Les couleurs sont marquantes et diversifiées ce qui accentue l'immersion dans ces paysages.
Le gameplay nous renvoie enfin aux prémices de ce qu'est réellement Assassins Creed : un jeu d'infiltration et d'assassinat. Finit les multitudes d'armes en tout genre et d'arbre de compétences aussi grand qu'un RPG, non, le point d'honneur a été mit sur l'infiltration et l'utilisation des outils pour mener à bien cette dernière. Les combats sont donc très simplifiés, aucun combo à apprendre et le panel d'ennemis se limite à 8 types différents. Le parkour reprend les codes des anciens opus combinés et offre une expérience très satisfaisante pour le joueur qui peut se déplacer où il le souhaite et le tout sans interruption si les bons chemins sont empruntés.
L'histoire, elle, est efficace, on en apprend un peu plus sur quelles bases s'est développé Alamut et le crédo, le tout, à travers un système d'enquêtes courtes pour déterminer les cibles (comme Valhalla). Celle-ci se complète assez rapidement si l'on se concentre uniquement dessus mais reste tout de même prenante et bien écrite.
Enfin, le contenu secondaire est très limité, on retrouvera les différents points d'intérêts à synchroniser ainsi que divers cosmétiques à ramasser pour personnaliser son expérience mais sans réelle profondeur. On comprend que l'équipe de développement a voulu revenir aux sources en focalisant sur son histoire et non sur ce que peut faire l'assassin en dehors. D'ailleurs la map est très peu détaillée en dehors de la ville de Bagdad, cela peut en freiner certains au vu de ce qui nous a été servi dernièrement de la part d'Ubisoft.
Pour conclure ce roman, cet AC est bon ! En l'espace de 40h pour tout compléter (histoire + contenu annexe), Basim saura vous envouter dans son monde ouvert riche et vivant. C'est un bon retour aux essentiels qui fait du bien après tant d'opus RPG Like qui avaient réussi petit à petit à faire perdre l'essence même de ce qu'est Assassins Creed !
PS : L'OST d'Assassins Creed II est dans le générique de lancement du jeu, rien que pour ça, il vaut le coup
- Retour aux sources ! Lâme secrète à l'honneur, parkour et infiltration
- Un Bagdad sublimé de détail, un monde ouvert immersif
- Direction Artistique solide, beau travail Ubisoft
- Durée de vie courte (par rapport aux derniers opus)
- Personnalisation de l'arsenal et tuniques trop simpliste
- Gameplay, infiltration, combat
- Parkour
- Décors et graphismes
- Durée de vie
- Gameplay, Histoire
- Monde vivant
- Parkour
- Pas de parkour comme unity
- Expression faciale pas assez réaliste
Évaluation : ★★☆☆☆
J'avais espéré que ce jeu serait une expérience mémorable, mais malheureusement, il s'est avéré être une grande déception à bien des égards. Tout d'abord, les graphismes, bien que corrects, sont loin d'être à la hauteur des normes actuelles. On aurait pu s'attendre à une meilleure qualité visuelle compte tenu des avancées technologiques dans l'industrie du jeu.
Le véritable problème réside dans le gameplay. Les contrôles sont mal conçus et difficilement maîtrisables, ce qui rend l'expérience de jeu plus frustrante que divertissante. Les mécanismes de combat manquent de fluidité, et le système d'IA est défaillant, créant des situations totalement irréalistes qui nuisent à l'immersion.
Le scénario, censé être le point fort du jeu, est banal et prévisible. Les personnages manquent de profondeur, et les rebondissements sont tellement clichés qu'ils ne parviennent même pas à susciter un semblant d'intérêt. J'ai trouvé difficile de m'investir émotionnellement dans l'histoire, ce qui a grandement affecté mon engagement à continuer à jouer.
De plus, le jeu est tristement dépourvu de contenu. Les missions se répètent sans cesse, et l'absence d'éléments innovants ou de quêtes secondaires captivantes a contribué à rendre l'expérience globale monotone. C'est dommage, car il semblait y avoir un potentiel inexploité qui aurait pu rendre ce jeu mémorable.
En conclusion, ce jeu ne parvient pas à livrer la qualité et l'originalité attendues. Malgré quelques aspects acceptables, les nombreux défauts, qu'ils soient liés au gameplay, à l'histoire ou au manque de contenu, font de cette expérience vidéoludique une déception regrettable. Je ne le recommande que si vous êtes prêt à faire abstraction de nombreuses lacunes pour trouver quelques rares moments de divertissement.
Concernant la durée de vie du jeu, il est un peu plus long que AC1 ou AC Brotherhood (quêtes principales) et sérieux ça fait du bien... Fini les open world et quêtes inutiles !
Ne vous fiez pas aux avis des gens qui n'ont connus AC que par Origins, Odyssey ou Valhalla !
- Durée de vie
- Histoire
- Vrai Assassin's Creed
- Le jeu vaut pas son prix il ressemble plutôt a un DLC d'assassins Creed valhalla.
- Le soit disant retour aux sources on le voit pas, il est clairement pas présent.
- Seule l'histoire vaut la peine d'y jouer, après la fin du jeu on n'y touche plus.
- bonne histoire.
- temps de jeu moins de 24h.
- fake retour aux sources
- rien d'intéressant après la fin du jeu.
Là où avant on pouvait choisir son type de jeu : archer, guerrier, assassin et évoluer en conséquence, ça n'est plus vraiment possible ici où la discrétion est recommandée.
Les skills et les armes sont réduits au minimum, il n'y a pas de niveau mais 6 rangs d'assassin.
C'est une question de goût, pour moi les aventures les plus merveilleuses étaient Origins et Odyssey, du coup je suis forcément déçue, et je trouve aussi que le jeu ne vaut pas le prix, on dirait plutôt un gros DLC ou un spin off.
Pour conclure, un retour aux sources très simpliste.
- Le décor
- Les "puzzles" pour atteindre certains coffres
- L'histoire assez confuse
- Le manque de customisation (perso, armes, gameplay...)
- Les quêtes annexes répétitives
- Graphismes
- Histoire
- Retour des vrais assassins
- Taille de la map
- IA
- Jeu trop court
Je trouve que c'est le pire de la licence. On se demande juste pourquoi?
ok Graphiquement, c'est beau mais tout juste
Ok c'est jouable mais tout juste.
Durée de vie nul
J'ai eu envie de pleurer juste pour avoir donné du fric à Ubisoft pour cette nullité historique....
- C'est (pas) Beau...
- bah en fait je vois pas .... Next on passe à autre chose
- ... mais sans plus et Black Flag a 10 ans et il est plus beau
- Les Scénaristes devaient faire grève
- Trop court , c'est vide; pas de contenu
C'est un petit dlc tout au plus. Alors oui bagdad est beau. Mais c'est tout. La carte est vide.
L'IA est nulle, les combats aussi, l'infiltration est répétitive, l'histoire est faible.
Je ne recommande pas du tout, dommage que je n'ai pas pu me faire remboursé.
- durée de vie
- manque de contenu
- IA très très faible.
Paysage réchauffé , certes graphismes poussés mais Odyssée était plus beau malgré tout.
Revenir à l'ancien système de combat pourquoi pas mais le , perdre des vies pendant une animation lors d'un combat à l'épée est vraiment déplorable, rien de révolutionnaire .
L'armure Isu est une vaste blague avec 12 pièces a ramasser , on peut le faire dès les premières heures de jeux.
L'histoire ainsi que le personnage principale ne sont pas intéressants ....Un AC à oublier
- Graphismes
- Histoire
- Gameplay
- compétences inutiles
- Graphisme
- Parcours
- Furtivité
- Missions secondaires répétitives
- Quête principale rapide
Pour commencer, Oui je suis un grand fan de AC, donc forcement je serais subjectif.
Le retour au sources et ENFIN la, et je crois que toute la communauté et aux anges.
dans les autre avis vous avez touts les détailles sur la sublimation de cet Opus, par contre à côté de tout ses points positifs, je trouve vraiment très dommage de ne plus avoir la map chargé de petit coins secrets et de son coté fantastique, créatures magique, arme féeriques. les grottes cachés avec des mini quêtes et récompense a la clef.
La map pour moi est vide. il n'y a que les villes et le désert vide. a part "la salle" rien de fantaisiste comme dans les précédant opus avec Ezio dans le catacombes, Origins et les pyramides, Oddysee et les temples des dieux, etc...
Limite pour moi ils aurais pus maitre mirage en dlc de Valhala comme AC4 Black Flag et libération
le jeu en sois est correct avec une graphique de ouf mai très pauvre en contenus, la preuve même pas de dlc, et le shadow qui arrive super vite après celui ci.
- retour au sources
- complète l'histoire
- map vide
- plus de parallele avec le present "animus"
- aussi court q'un dlc
- Retour aux sources
- Très beau
- très bon parkours
- un peu cours
Les plus récents
- Immersion
- Réalisme de la map
- Trop court
Que dire sur ce jeu ?
Contrairement à ce que beaucoup de gens reprochent au jeu, pour moi la durée de vie n’est pas un problème et ne doit pas être un argument pour juger le jeu dans sa qualité propre.
En réalité j’ai beaucoup apprécié cet opus, il est encore assez beau (malgré l’utilisation du même moteur graphique que les précédents AC), il a un gameplay toujours aussi bon, un environnement très beau et fidèle à l’époque qu’il représente et un personnage qui m’a beaucoup plu.
Selon moi et ce qui a péché pour le jeu, c’est la promesse d’offrir une expérience semblable aux anciens AC, ce qui ici n’a pas été réellement le cas. C’est le retour de quelques mécaniques qui viennent peaufiner le gameplay de AC Mirage mais n’offre rien de nouveau et amène à ce sentiment rapide de déjà vu et de lassitude.
Je recommande donc le jeu à ceux qui découvrent la licence des Assassin’s Creed mais ne le conseille pas à ceux qui s’attendent à retrouver une expérience totalement similaire aux anciens AC car ils seront déçus.
- Un gameplay correct, qui reprend quelques anciennes mécaniques des autres AC
- Un environnement très beau et fidèle à l’époque du Samarra
- Un jeu bien optimisé, qui permet à une grande majorité de configurations PC de faire tourner le jeu
- Une rejouabilité presque inexistante (sauf avec le New Game+)
- Une déception pour les joueurs s’attendant à un retour complet aux origines
- Des missions secondaires inintéressantes et ennuyeux dans certains cas