C'est un jeu qui est assez amusant à jouer à plusieurs mais avec ses limites. Au bout de 40h de jeu, avec les meilleurs armures et armes, tout ce qu'il reste à faire c'est survivre car il n'y a pas d'histoire et donc pas de fin. En plus de ça, les missions sont, au bout de 40h de jeu, très redondantes malgré un niveau de difficulté qui augmente. Par ailleurs, il existe des villes ayant des bâtiments s'apparentant à des buildings malheureusement le moteur graphique du jeu ne suit pas la cadence et ça donne un jeu très mal optimisé. Malgré tout je le recommande car il est divertissant et s'améliore de màj en màj.

Pour les habituer de la saga Far Cry, la prise en main est assez rapide, même s'il faut le temps pour l'une ou l'autre chose.

Effectivement, un peu différent de ce qu'on a connu avant, mais il faut bien des changements.

Graphiquement, ca va, même si pas le plus beau, sauf pour l'environnement qui est très bien réussi.

Les ennemis sont juste pas très malin mais en soit, c'est pas le pire

Bienvenue dans le monde coloré et vaguement ennuyeux de Pan'orama, un jeu qui tente désespérément de capturer la magie des city-builders et des simulations environnementales, mais finit par ressembler à une brochure touristique mal conçue. Accrochez-vous, car cette balade virtuelle va vous laisser aussi impressionné qu'un lundi matin pluvieux.

Pan'orama mise tout sur ses graphismes pastel et ses paysages bucoliques, mais finit par offrir une esthétique aussi excitante qu'un PowerPoint sur la croissance des lichens. Imaginez SimCity après avoir été trempé dans un bain de guimauve et de somnifères. Si vous cherchiez une raison de regretter votre achat, vous êtes au bon endroit.

Le gameplay est une symphonie de monotonie. Construire et gérer votre environnement devrait être captivant, mais ici, c'est une série de clics mécaniques sans âme. Les mécanismes sont aussi profonds qu'une flaque d'eau, avec des options de personnalisation limitées et une progression aussi rapide qu'un escargot sur une rampe de lancement. C'est un peu comme si les développeurs avaient décidé de faire un jeu pour les jours où vous trouvez que regarder la peinture sécher est trop stimulant.

Techniquement, Pan'orama est un paradoxe vivant : un jeu qui semble dater de plusieurs décennies tout en étant sorti récemment. Les développeurs semblent avoir misé sur la nostalgie, concrétement ce jeu est fait pour vous si vous voulez passer un moment sans prise de tête à placer des blocs les uns à côté des autres, en soit c’est un peu comme l’ASMR sa en détend certains et pousse les autres au meurtre.

Pan'orama est une tentative ratée de capturer la magie des simulations environnementales et des city-builders. Plutôt que de vous plonger dans un monde fascinant de gestion et de création, il vous entraîne dans un marécage de répétition et de médiocrité. Si vous cherchez un jeu qui défie vos compétences et vous captive pendant des heures, passez votre chemin. Pan'orama est une expérience aussi fade qu'un régime sans sel, idéale pour ceux qui cherchent un je passe-temps et vidant le cerveau.

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