Roblox - 10000 Robux - Europe
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60 Seconds! Reatomized est un titre rigolo, avec pas mal d'humour, et franchement, on s'amuse dessus pendant une à deux heures max. Et puis c'est tout, car on a l'impression de tourner en rond. Dommage, car avec plus de diversité et une réalisation un peu plus soignée, on aurait pu avoir un titre très cool.

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Tout d'abord précision importante: le jeu a été patché sur PC, les problèmes d'opti ne sont plus aussi présents qu'avant, il y a clairment une énorme différence avec les MàJ récentes. La sortie a été honteuse, il est plus que normal de pester contre ça car c'est inadmissible. Je suis le premier à "rager" et m'offusquer de ça. Hélas FS sont ni les premiers ni les derniers dans la catégorie "foutage de gueule".. C'est légion sur 80% des jeux qui sortent sur PC malheureusement.. et ce depuis toujours.
Bref ! Désormais ça appartient au passé et il faut rendre hommage à ce fantastique jeu qui ne mérite de façon objective que des éloges.
Je viens de le finir à l'instant. 160H, je pense avoir tout fait.
Quel jeu.. Mais quel jeu..
Des surprises et des émerveillement de bout en bout. J'ai jamais pris autant de plaisir dans une aventure comme celle là. Clairement l'après Elden Ring va être dur pour ce qui est des autres productions du genre.
Le jeu est infini, regorge de secrets, de possibilités et de variétés dans ses ambiances et son univers qui sont retranscrits avec un direction artistique exceptionnelle. Tout est extraordinaire, il n'y a vraiment rien à jeter :-)
Bien sûr les recyclages sur tout le côté annexe du jeu peut un peu gaver à la longue, mais bon en vrai tu peux les skip ou jouer avec les possibilités que te donne le jeu pour les écraser et en faire une formalité. En tout cas je préfère avoir ça en bonus que non. Le jeu réussit suffisamment à être varié dans tous les autres aspects principaux qu'au final osef. Le jeu n'est pas non plus parfait sur tout. C'est vrai que techniquement c'est "daté". Mais là encore la DA fait tout le taff. Daté ou non, ca ne m'a pas empêché de me dire 450x durant ma partie "wow c'est magnifique". Petit soucis d'équilibrage également, mais bon là encore difficile de savoir quoi faire concrètement. Ca fait bizarre par moment de rouler sur des boss dans un jeu From Software, mais bon rassurez vous, il y a bel et bien énormément de challenge si vous le désirez. La variété et la richesse du jeu font qu'on peut l'aborder de plein de façon différente, tout le monde y trouvera son compte.
Un jeu à faire, ce n'est pas "facile" mais tout le monde peut y arriver en tout cas. Surtout ne vous arrêtez pas à des préjugés biaisés, ce serait trop dommage de passer à côté d'une oeuvre comme celle là, encore plus si vous kiffer les jv.
Bon maitenant NG+ ou reroll depuis le départ sur un tout nouveau perso ? tel est le "dur" choix qui s'offre à moi.. :D Car oui même après toutes ces heures, tu n'as qu'une envie: y retourner
Bref ! Désormais ça appartient au passé et il faut rendre hommage à ce fantastique jeu qui ne mérite de façon objective que des éloges.
Je viens de le finir à l'instant. 160H, je pense avoir tout fait.
Quel jeu.. Mais quel jeu..
Des surprises et des émerveillement de bout en bout. J'ai jamais pris autant de plaisir dans une aventure comme celle là. Clairement l'après Elden Ring va être dur pour ce qui est des autres productions du genre.
Le jeu est infini, regorge de secrets, de possibilités et de variétés dans ses ambiances et son univers qui sont retranscrits avec un direction artistique exceptionnelle. Tout est extraordinaire, il n'y a vraiment rien à jeter :-)
Bien sûr les recyclages sur tout le côté annexe du jeu peut un peu gaver à la longue, mais bon en vrai tu peux les skip ou jouer avec les possibilités que te donne le jeu pour les écraser et en faire une formalité. En tout cas je préfère avoir ça en bonus que non. Le jeu réussit suffisamment à être varié dans tous les autres aspects principaux qu'au final osef. Le jeu n'est pas non plus parfait sur tout. C'est vrai que techniquement c'est "daté". Mais là encore la DA fait tout le taff. Daté ou non, ca ne m'a pas empêché de me dire 450x durant ma partie "wow c'est magnifique". Petit soucis d'équilibrage également, mais bon là encore difficile de savoir quoi faire concrètement. Ca fait bizarre par moment de rouler sur des boss dans un jeu From Software, mais bon rassurez vous, il y a bel et bien énormément de challenge si vous le désirez. La variété et la richesse du jeu font qu'on peut l'aborder de plein de façon différente, tout le monde y trouvera son compte.
Un jeu à faire, ce n'est pas "facile" mais tout le monde peut y arriver en tout cas. Surtout ne vous arrêtez pas à des préjugés biaisés, ce serait trop dommage de passer à côté d'une oeuvre comme celle là, encore plus si vous kiffer les jv.
Bon maitenant NG+ ou reroll depuis le départ sur un tout nouveau perso ? tel est le "dur" choix qui s'offre à moi.. :D Car oui même après toutes ces heures, tu n'as qu'une envie: y retourner

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Plus de cinq ans après le quatrième volet, la licence fétiche de Rebellion revient avec Sniper Elite 5. Ce cinquième opus, après une petite virée sympathique en Italie, nous plonge directement en France, et plus précisément au cœur de la résistance française et de la fameuse opération Overlord menée lors du débarquement de normandie. Ainsi, après un Sniper Elite 4 vraiment agréable, force est de constater que les p’tits gars de Rebellion se sont un tout petit peu reposés sur leurs lauriers.
Les narrations se suivent et se ressemblent sur Sniper Elite, et Sniper Elite 5 ne déroge évidemment pas à la règle. Dans la peau de Karl Fairburne, notre sniper de l’ombre hors pair, notre héros devra à nouveau mettre à mal le nouveau plan des nazis, après sa petite victoire en Italie. Le bougre devra mettre un terme à l’opération Kraken des nazis, visant justement à empêcher le débarquement en normandie, et qui pourrait accessoirement aider grandement l’Allemagne nazie à remporter la guerre.
Dans un classicisme des plus flagrants, Sniper Elite 5 propose une nouvelle fois une trame vraiment inintéressante au possible. En effet, force est d’admettre que la mise en scène dans la narration est toujours aussi pauvre comme les personnages, toujours d’une platitude sans nom. Hormis le côté frenchy de ce nouveau volet qui fait forcément bien plaisir avec des événements clés de la Seconde Guerre dont le mythique débarquement de Normandie, le reste est plutôt famélique en matière d’histoire à proprement parler.
On ne s’attendait pas à un miracle sur la trame scénaristique du soft, et c’est bien ce qu’il s’est passé. Reste maintenant à savoir si après la fin du jeu, Rebellion va continuer d’une façon ou d’une autre l’histoire de Sniper Elite, qui ne devrait certainement pas s’arrêter là. Concrètement et dans la logique des choses, le prochain volet devrait certainement explorer les contrées berlinoises, et donc dans un possible remake de Sniper Elite V2 si cela se produit bel et bien.
Dans sa construction pure et dure, Sniper Elite 5 reprend clairement les bases solides laissées par Sniper Elite 4. Le titre de Rebellion propose une nouvelle fois des niveaux assez grands et ouverts, qui forcent à l’exploration. Comme toujours dans chaque niveau, il s’agira d’accomplir des objectifs primaires certes, mais également des missions annexes. De manière générale, celle-ci permettent clairement de trouver divers collectibles ou éventuellement diverses récompenses à base de munitions voire en déblocages d’armes si vous trouvez entre temps des établis prévus à cet effet.
Egalement, ces dernières peuvent aussi servir justement à par exemple couper les communications radio, ce qui peut de surcroit empêcher l’arrivée de renforts supplémentaires si vous vous faites repérer. Concrètement, le level-design est donc toujours aussi bien ficelé. Qui plus est, les possibilités pour le joueur de parvenir à ses fins sont immenses, étant donné qu’il sera en général assez libre d’aborder les missions comme il le souhaite, et en ayant même la faculté de finir les différents niveaux sans tuer personnes. Autrement dit, Sniper Elite 5 a accompli une belle prouesse, en proposant une architecture des niveaux plutôt solide, et encourageant clairement l’exploration.
Cependant et on pouvait le craindre, Rebellion a semble-t-il, joué la carte de la paresse sur cet épisode. Il y aura en effet cette désagréable sensation de jouer à Sniper Elite 4, tant la plupart des niveaux se suivent et se ressemblent esthétiquement parlant. En clair, il ne sera pas rare de revoir différents assets provenant de Sniper Elite 4 voire de V2, ce qui aura clairement le don de rendre la chose assez fade et lassante à la longue. En sus, on ne sera pas surpris de l’extrême répétitivité des objectifs, qui en deviennent barbants et qui ne se résumera qu’à aller d’un point A à un point B pour saboter diverses structures, voire à tuer des cibles en particulier. Indéniablement, Sniper Elite 5 peine vraiment à se renouveler sur ce point, et c’est fort dommage.
En dehors de ces nombreux couacs dans la construction globale du soft, Sniper Elite 5 reste tout du moins amusant dans son gameplay. Pour ceux qui connaissent déjà la licence, ce cinquième opus reprend évidemment le feeling de Sniper Elite 4, avec un peu plus de grimpettes pour accéder à divers bâtiments, mais encore doté d’une petite rigidité sur les mouvements de Karl a contrario. Toutefois, la disposition du pouls et la barre de vie ont changé au niveau de l’interface, ce qui donne un peu plus de clarté. Bien entendu, on retrouve fatalement ce gameplay ô combien jouissif avec les diverses killcams façon rayon X, et le vent et la gravité à prendre en compte quand il s’agit d’ajuster nos cibles au sniper. Les tirs masqués font aussi leur retour, et permettent via le bruit environnant ou que vous créez, d’utiliser votre sniper sans silencieux pour dégommer vos adversaires sans éveiller les soupçons des autres gardes.
Il faut bien l’avouer, les sensations manette en main sont toujours aussi fun, et sachez que les gâchettes adaptatives et le retour haptique de la DualSensse sont bien prises en compte, même si cela reste assez léger. Au rayon des nouveautés, la production de Rebellion s’enrichie un peu plus avec notamment la vue FPS sur les armes traditionnelles quand vous visez plus précisément, rendant les gunfights beaucoup plus immersifs. Cela n’en reste néanmoins qu’un ajout anecdotique comme les nouveaux types de munitions ou gadgets, qui viennent juste donner un peu plus de possibilités aux joueurs afin de se sortir de situations plus périlleuses, voire se la jouer beaucoup plus fine.
La formule est donc finalement quasiment la même que Sniper Elite 4, ce qui fait que le soft traine hélas les mêmes boulets en matière de défauts, avec l’IA. Concrètement, c’est exactement la même depuis Sniper Elite V2, avec une IA qui justement vous encerclera sur votre dernière position connue. Autrement dit, il en devient vite facile de prendre les gardes à revers, comme il devient également pénible de se faire repérer pour un rien. Il est coutumier de se faire voir par les gardes dans des angles impossibles alors que techniquement, vous n’êtes pas censé être vu. Il en va de même quand vous êtes dans les hautes herbes alors que vous n’êtes pas censé être vu, ou bien quand vous tuez des gardes avec les tirs masqués. L’équilibrage de l’IA est une fois encore désastreuse pour ne pas changer, et il serait temps de la changer sur le prochain opus.
Bien évidemment, si l’on peut citer un autre défaut ce sera forcément les bugs que le soft se traine, en sus de sa répétitivité prononcée. Au fil du jeu, le gameplay se renouvelle finalement assez peu, et vous ferez inévitablement toujours les mêmes actions qui passeront que vous alliez en mode bourrin ou discrétion. C’est le bât qui blesse en plus de voir parfois notre héros se coincer dans le décor. Mais dans l’absolu et nous l’avons évoqué plus haut, heureusement que le gameplay est en définitive plaisant tout le long.
On ne sait pas vraiment si l’on peut appeler ça une nouveauté car cela est implémenté dans le gameplay depuis Sniper Elite 4, mais la personnalisation des armes a quant à elle, été revue. Désormais, quand vous débloquez diverses armes voire leurs accessoires, vous serez dans l’obligation de remplir certaines conditions à savoir trouver les établis dans divers niveaux, ou terminer certains niveaux ainsi que réaliser des défis d’éliminations. Ce n’est donc que par ce biais là que vous pourrez obtenir de nouvelles armes ou accessoires, et il faut dire que cette nouvelle formule de personnalisation des armes bien que complète, n’en reste pas moins fastidieuse en matière de progression, et pénalise à notre sens le joueur qui n’a pas forcément envie d’emprunter ce chemin là pour tout débloquer.
C’est vraiment le gros point noir de ce côté personnalisation des pétoires, qui aurait dû rester à la rigueur sur le système précédent, bien plus intéressant et accessible pour tout le monde. Ceci dit, les compétences ont fait peau neuve, mais dans le bon sens. En finissant vos missions vous gagnez de l’expérience. Cela vous fait donc monter en niveau, et vous donne un point de compétences. Vous avez ensuite le choix de la répartir dans combat, équipement ou corps, afin de donner la possibilité à Karl d’avoir un peu plus de vie, d’endurance, voire de porter un peu plus d’équipement en l’occurrence. Qu’on se le dise, malgré la grande simplicité de ce système de compétence, celui-ci reste bienvenu, et fonctionne relativement bien.
Sur sa durée de vie, Sniper Elite 5 n’est pas si maigre que ça en contenu. Outre la campagne principale qui se plie en environ 10h et qui est d’ailleurs jouable en coopération jusqu’à deux joueurs, le mode invasion vient se rajouter à la liste, et demeure assez rafraichissant. Comme son nom l’indique, le mode invasion autorise le joueur adverse à envahir la campagne principale d’un autre joueur, et de contrôler un soldat nazi. Votre but sera forcément à terme de tuer Karl Fairburne, en sachant qu’il n’apparaitra pas sur la map et que vous devrez le chercher par vous même.
A l’inverse, sachez que le joueur contrôlant Karl pourra quant à lui vous repérer plus ou moins dans la zone où vous vous trouvez en utilisant des téléphones prévus à cet effet. En somme, bien qu’assez intéressant sur le papier, le mode invasion n’en reste pas moins peu concluant dans la pratique, et dont les joueurs ont la liberté de vous exclure de leur partie, alors que l’option mode invasion est désactivable à tout moment…
Pour le reste, Sniper Elite 5 s’offre un mode multijoueur assez efficace avec des modes de jeu traditionnels, mais également un match à mort à distance, qui colle bien avec le principe de Sniper Elite, qui est de tuer à distance. En sus, vous retrouverez également un mode survie jouable en coop jusqu’à deux joueurs via trois maps. Clairement, le contenu qu’a à offrir le titre de Rebellion est plus que généreux dans son ensemble, même si nous regrettons que la dixième mission du mode campagne qui consister à éliminer Hitler, soit payant et avoisine les 6,99 € en guise de DLC…
Bref le jeu et remplie de certaine bonne fonctionnalité mais aussi beaucoup de bug
Les narrations se suivent et se ressemblent sur Sniper Elite, et Sniper Elite 5 ne déroge évidemment pas à la règle. Dans la peau de Karl Fairburne, notre sniper de l’ombre hors pair, notre héros devra à nouveau mettre à mal le nouveau plan des nazis, après sa petite victoire en Italie. Le bougre devra mettre un terme à l’opération Kraken des nazis, visant justement à empêcher le débarquement en normandie, et qui pourrait accessoirement aider grandement l’Allemagne nazie à remporter la guerre.
Dans un classicisme des plus flagrants, Sniper Elite 5 propose une nouvelle fois une trame vraiment inintéressante au possible. En effet, force est d’admettre que la mise en scène dans la narration est toujours aussi pauvre comme les personnages, toujours d’une platitude sans nom. Hormis le côté frenchy de ce nouveau volet qui fait forcément bien plaisir avec des événements clés de la Seconde Guerre dont le mythique débarquement de Normandie, le reste est plutôt famélique en matière d’histoire à proprement parler.
On ne s’attendait pas à un miracle sur la trame scénaristique du soft, et c’est bien ce qu’il s’est passé. Reste maintenant à savoir si après la fin du jeu, Rebellion va continuer d’une façon ou d’une autre l’histoire de Sniper Elite, qui ne devrait certainement pas s’arrêter là. Concrètement et dans la logique des choses, le prochain volet devrait certainement explorer les contrées berlinoises, et donc dans un possible remake de Sniper Elite V2 si cela se produit bel et bien.
Dans sa construction pure et dure, Sniper Elite 5 reprend clairement les bases solides laissées par Sniper Elite 4. Le titre de Rebellion propose une nouvelle fois des niveaux assez grands et ouverts, qui forcent à l’exploration. Comme toujours dans chaque niveau, il s’agira d’accomplir des objectifs primaires certes, mais également des missions annexes. De manière générale, celle-ci permettent clairement de trouver divers collectibles ou éventuellement diverses récompenses à base de munitions voire en déblocages d’armes si vous trouvez entre temps des établis prévus à cet effet.
Egalement, ces dernières peuvent aussi servir justement à par exemple couper les communications radio, ce qui peut de surcroit empêcher l’arrivée de renforts supplémentaires si vous vous faites repérer. Concrètement, le level-design est donc toujours aussi bien ficelé. Qui plus est, les possibilités pour le joueur de parvenir à ses fins sont immenses, étant donné qu’il sera en général assez libre d’aborder les missions comme il le souhaite, et en ayant même la faculté de finir les différents niveaux sans tuer personnes. Autrement dit, Sniper Elite 5 a accompli une belle prouesse, en proposant une architecture des niveaux plutôt solide, et encourageant clairement l’exploration.
Cependant et on pouvait le craindre, Rebellion a semble-t-il, joué la carte de la paresse sur cet épisode. Il y aura en effet cette désagréable sensation de jouer à Sniper Elite 4, tant la plupart des niveaux se suivent et se ressemblent esthétiquement parlant. En clair, il ne sera pas rare de revoir différents assets provenant de Sniper Elite 4 voire de V2, ce qui aura clairement le don de rendre la chose assez fade et lassante à la longue. En sus, on ne sera pas surpris de l’extrême répétitivité des objectifs, qui en deviennent barbants et qui ne se résumera qu’à aller d’un point A à un point B pour saboter diverses structures, voire à tuer des cibles en particulier. Indéniablement, Sniper Elite 5 peine vraiment à se renouveler sur ce point, et c’est fort dommage.
En dehors de ces nombreux couacs dans la construction globale du soft, Sniper Elite 5 reste tout du moins amusant dans son gameplay. Pour ceux qui connaissent déjà la licence, ce cinquième opus reprend évidemment le feeling de Sniper Elite 4, avec un peu plus de grimpettes pour accéder à divers bâtiments, mais encore doté d’une petite rigidité sur les mouvements de Karl a contrario. Toutefois, la disposition du pouls et la barre de vie ont changé au niveau de l’interface, ce qui donne un peu plus de clarté. Bien entendu, on retrouve fatalement ce gameplay ô combien jouissif avec les diverses killcams façon rayon X, et le vent et la gravité à prendre en compte quand il s’agit d’ajuster nos cibles au sniper. Les tirs masqués font aussi leur retour, et permettent via le bruit environnant ou que vous créez, d’utiliser votre sniper sans silencieux pour dégommer vos adversaires sans éveiller les soupçons des autres gardes.
Il faut bien l’avouer, les sensations manette en main sont toujours aussi fun, et sachez que les gâchettes adaptatives et le retour haptique de la DualSensse sont bien prises en compte, même si cela reste assez léger. Au rayon des nouveautés, la production de Rebellion s’enrichie un peu plus avec notamment la vue FPS sur les armes traditionnelles quand vous visez plus précisément, rendant les gunfights beaucoup plus immersifs. Cela n’en reste néanmoins qu’un ajout anecdotique comme les nouveaux types de munitions ou gadgets, qui viennent juste donner un peu plus de possibilités aux joueurs afin de se sortir de situations plus périlleuses, voire se la jouer beaucoup plus fine.
La formule est donc finalement quasiment la même que Sniper Elite 4, ce qui fait que le soft traine hélas les mêmes boulets en matière de défauts, avec l’IA. Concrètement, c’est exactement la même depuis Sniper Elite V2, avec une IA qui justement vous encerclera sur votre dernière position connue. Autrement dit, il en devient vite facile de prendre les gardes à revers, comme il devient également pénible de se faire repérer pour un rien. Il est coutumier de se faire voir par les gardes dans des angles impossibles alors que techniquement, vous n’êtes pas censé être vu. Il en va de même quand vous êtes dans les hautes herbes alors que vous n’êtes pas censé être vu, ou bien quand vous tuez des gardes avec les tirs masqués. L’équilibrage de l’IA est une fois encore désastreuse pour ne pas changer, et il serait temps de la changer sur le prochain opus.
Bien évidemment, si l’on peut citer un autre défaut ce sera forcément les bugs que le soft se traine, en sus de sa répétitivité prononcée. Au fil du jeu, le gameplay se renouvelle finalement assez peu, et vous ferez inévitablement toujours les mêmes actions qui passeront que vous alliez en mode bourrin ou discrétion. C’est le bât qui blesse en plus de voir parfois notre héros se coincer dans le décor. Mais dans l’absolu et nous l’avons évoqué plus haut, heureusement que le gameplay est en définitive plaisant tout le long.
On ne sait pas vraiment si l’on peut appeler ça une nouveauté car cela est implémenté dans le gameplay depuis Sniper Elite 4, mais la personnalisation des armes a quant à elle, été revue. Désormais, quand vous débloquez diverses armes voire leurs accessoires, vous serez dans l’obligation de remplir certaines conditions à savoir trouver les établis dans divers niveaux, ou terminer certains niveaux ainsi que réaliser des défis d’éliminations. Ce n’est donc que par ce biais là que vous pourrez obtenir de nouvelles armes ou accessoires, et il faut dire que cette nouvelle formule de personnalisation des armes bien que complète, n’en reste pas moins fastidieuse en matière de progression, et pénalise à notre sens le joueur qui n’a pas forcément envie d’emprunter ce chemin là pour tout débloquer.
C’est vraiment le gros point noir de ce côté personnalisation des pétoires, qui aurait dû rester à la rigueur sur le système précédent, bien plus intéressant et accessible pour tout le monde. Ceci dit, les compétences ont fait peau neuve, mais dans le bon sens. En finissant vos missions vous gagnez de l’expérience. Cela vous fait donc monter en niveau, et vous donne un point de compétences. Vous avez ensuite le choix de la répartir dans combat, équipement ou corps, afin de donner la possibilité à Karl d’avoir un peu plus de vie, d’endurance, voire de porter un peu plus d’équipement en l’occurrence. Qu’on se le dise, malgré la grande simplicité de ce système de compétence, celui-ci reste bienvenu, et fonctionne relativement bien.
Sur sa durée de vie, Sniper Elite 5 n’est pas si maigre que ça en contenu. Outre la campagne principale qui se plie en environ 10h et qui est d’ailleurs jouable en coopération jusqu’à deux joueurs, le mode invasion vient se rajouter à la liste, et demeure assez rafraichissant. Comme son nom l’indique, le mode invasion autorise le joueur adverse à envahir la campagne principale d’un autre joueur, et de contrôler un soldat nazi. Votre but sera forcément à terme de tuer Karl Fairburne, en sachant qu’il n’apparaitra pas sur la map et que vous devrez le chercher par vous même.
A l’inverse, sachez que le joueur contrôlant Karl pourra quant à lui vous repérer plus ou moins dans la zone où vous vous trouvez en utilisant des téléphones prévus à cet effet. En somme, bien qu’assez intéressant sur le papier, le mode invasion n’en reste pas moins peu concluant dans la pratique, et dont les joueurs ont la liberté de vous exclure de leur partie, alors que l’option mode invasion est désactivable à tout moment…
Pour le reste, Sniper Elite 5 s’offre un mode multijoueur assez efficace avec des modes de jeu traditionnels, mais également un match à mort à distance, qui colle bien avec le principe de Sniper Elite, qui est de tuer à distance. En sus, vous retrouverez également un mode survie jouable en coop jusqu’à deux joueurs via trois maps. Clairement, le contenu qu’a à offrir le titre de Rebellion est plus que généreux dans son ensemble, même si nous regrettons que la dixième mission du mode campagne qui consister à éliminer Hitler, soit payant et avoisine les 6,99 € en guise de DLC…
Bref le jeu et remplie de certaine bonne fonctionnalité mais aussi beaucoup de bug

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Le principe est simple, dans une cuisine, des petits cuistots essaient de préparer des plats, ingrédient par ingrédient, dans des situations complètement abracadabrantes. Découper, cuire et maintenant mixer, tout cela serait simple... s’il n’y avait pas des embûches comme des tapis roulants ou si les différents éléments de la cuisine n’étaient pas séparés par des ravins ! La formule est toujours d’une efficacité redoutable et la coopération obligatoire provoque des éclats de rire et de fausses engueulades mythiques !
Bien que ce nouvel opus ne semble pas, sur le papier, s’éloigner très loin du nid, il propose en fait de nombreuses variations qui le rendent plus dingue que son prédécesseur. Outre les nouvelles recettes qui offrent plus de diversités, pouvoir jeter les aliments crus dans les mains d’un collègue, voire directement dans les casseroles et autres ustensiles, ouvre un panel de possibilités bien plus grand. Les joueurs les plus habiles peuvent aller plus vite, les équipes qui communiquent bien ne seront que meilleures et les niveaux se sont adaptés à cette nouvelle fonction, avec des équipes séparées par des espaces infranchissables ! Bref, pile ce qu’il fallait.
Parmi les ajouts, on note aussi l’arrivée du multi en ligne qui permet de jouer en mode Arcade ou en mode Duel, avec le chat vocal pour communiquer. Bémol important sur Nintendo Switch, le chat vocal n’existe pas actuellement ce qui oblige à n’utiliser que les emoticons, peu pratiques pour donner des ordres. Quoi qu’il en soit, cela donnera l’occasion aux joueurs de se tirer la bourre avec des potes même à distance, bien qu’Overcooked! 2 reste une meilleure expérience quand tout le monde est réuni dans la même pièce.
Faut-il apporter des bémols ? Il y en a bien un. Si le concept a déjà fait ses preuves, Overcooked! 2 gagnerait à la faire évoluer avec des modes différents. Certains joueurs pourraient bien ressentir une petite impression de lassitude, surtout avec un deuxième épisode. Cela ne pose pas de problème si vous comptez n'y jouer que de façon sporadique, quand vous avez des amis à la maison par exemple.
Si le premier Overcooked! vous avait plu, vous pouvez voir cette suite comme une version améliorée, encore plus fun, dont les quelques ajouts suffisent à renouveler un peu l’expérience. Un excellent titre, que l’on déconseillera juste à ceux qui avaient fini par se lasser du premier opus ou qui ont toujours été réfractaires au concept.
Bien que ce nouvel opus ne semble pas, sur le papier, s’éloigner très loin du nid, il propose en fait de nombreuses variations qui le rendent plus dingue que son prédécesseur. Outre les nouvelles recettes qui offrent plus de diversités, pouvoir jeter les aliments crus dans les mains d’un collègue, voire directement dans les casseroles et autres ustensiles, ouvre un panel de possibilités bien plus grand. Les joueurs les plus habiles peuvent aller plus vite, les équipes qui communiquent bien ne seront que meilleures et les niveaux se sont adaptés à cette nouvelle fonction, avec des équipes séparées par des espaces infranchissables ! Bref, pile ce qu’il fallait.
Parmi les ajouts, on note aussi l’arrivée du multi en ligne qui permet de jouer en mode Arcade ou en mode Duel, avec le chat vocal pour communiquer. Bémol important sur Nintendo Switch, le chat vocal n’existe pas actuellement ce qui oblige à n’utiliser que les emoticons, peu pratiques pour donner des ordres. Quoi qu’il en soit, cela donnera l’occasion aux joueurs de se tirer la bourre avec des potes même à distance, bien qu’Overcooked! 2 reste une meilleure expérience quand tout le monde est réuni dans la même pièce.
Faut-il apporter des bémols ? Il y en a bien un. Si le concept a déjà fait ses preuves, Overcooked! 2 gagnerait à la faire évoluer avec des modes différents. Certains joueurs pourraient bien ressentir une petite impression de lassitude, surtout avec un deuxième épisode. Cela ne pose pas de problème si vous comptez n'y jouer que de façon sporadique, quand vous avez des amis à la maison par exemple.
Si le premier Overcooked! vous avait plu, vous pouvez voir cette suite comme une version améliorée, encore plus fun, dont les quelques ajouts suffisent à renouveler un peu l’expérience. Un excellent titre, que l’on déconseillera juste à ceux qui avaient fini par se lasser du premier opus ou qui ont toujours été réfractaires au concept.

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Voilà, ça arrive enfin, je fais enfin le test de Minecraft alors que j'y joue depuis plus de 6 mois, mais je ne les compte plus! Carrément énorme, l'un des meilleurs jeux auquels j'ai jamais joué! Des choses? Artisanat, exploration, construction, démolition, combats, naviguation, minage, multijoueuration :), survie, hardcore, élevage, alchimie, cultures, enchantements, découvertes, manger, enchantements, Enfer, Ender, graphismes, maniabilité, colonisation et création. Voilà en gros tout ce que vous pouvez faire dans Minecraft, laché dans un monde que vous ne connaissez pas, vous explorez des biomes (plaines, forêt, villages, jungle, montagnes, neige ou océan) très bien générés, vous y croisez des créatures (ocelot, cochon, poules, vaches ou moutons) et tentez de survivre dans ce monde sans pitié! Un but? Il y en a beaucoup, déjà survivre, puis aller, dans les enfers, construire un stand d'alchimie, ou monter un cochon sur une falaise! :D Explorez ensuite l'environnement pour trouver des forts, des villages de PNJ ou des donjons. Jouez avec d'autres joueurs sur un serveur, c'est le top! Sachez juste qu'après avoir acheté le jeu, vous n'en reviendrez pas... Et les graphismes sont très beaux même si c'est des pixels? C'est pas le jeu le plus moche au monde!
Bref, jouez, et vous verrez...
Bref, jouez, et vous verrez...

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Pour tout vous dire quand j'ai vu sur YouTube l'engouement derrière ce jeu j'ai tout de suite voulu le testé et comme il est disponible "gratuitement" sur PS4 avec le Playstation Plus.
Je l'ai téléchargé et je suis satisfait de ce jeu, ma plus grande inquiétude était le manque de diversité des mini-jeux qui a terme sera inévitable rendant le jeu très très répétitif mais je pense que le studio renouvellera ses mini-jeu qui sont pour la plupart très bien pensée comme le Battle royale qui a bien été incorporé dans le jeux malgré beaucoup de problèmes de serveurs qui rendent le jeux assez irritant des fois mais on fait avec pour l'instant.
Résumé : Donc le jeu est un Battle royale à 60 joueurs avec une bonne diversité de mini-jeux, jouable avec 4 amis
Je l'ai téléchargé et je suis satisfait de ce jeu, ma plus grande inquiétude était le manque de diversité des mini-jeux qui a terme sera inévitable rendant le jeu très très répétitif mais je pense que le studio renouvellera ses mini-jeu qui sont pour la plupart très bien pensée comme le Battle royale qui a bien été incorporé dans le jeux malgré beaucoup de problèmes de serveurs qui rendent le jeux assez irritant des fois mais on fait avec pour l'instant.
Résumé : Donc le jeu est un Battle royale à 60 joueurs avec une bonne diversité de mini-jeux, jouable avec 4 amis

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J'apprécie beaucoup Genshin Impact pour son univers son gameplay etc... MAIS les personnages souhaités (sur les bannières permanentes notamment) sont TRÈS compliqué à obtenir, pour mon cas, j'essaie depuis Mai 2021 d'avoir Keqing, une épéiste de type électro, en vain j'ai dépensé au moins 300 Pierres d'invocations pour rien ! Tout de même le jeu reste très accessible pour les débutants mais passé le niveau 45-50 le jeu change drastiquement, car il faut farm tous les jours pour les actefacts les matériaux etc..

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Le genre de jeu 'Freemium' (i.e., gratuit avec des options payantes) qui n'était sans doute pas destiné à rencontré un tel succès. TRES addictif en raison des missions-journalières.
Le concept de départ, batailles des chars en équipes de 15, est très bon et sans doute prometteur pour des jeux futurs. Au départ le jeu m'a vraiment intéressé. La réalisation est plus que moyenne. Le développement plus que inexistant. La publicité et la communication de l'éditeur pour ce jeu, 100% bidon.
Je m'explique, un peu, sans rentrer dans les détails pour cela vous pouvez aller voir les forums sur le net.
Le jeu est soi-disant Free to play, vrai mais en fait les utilisateurs premiums (qui payent donc) ont un énorme avantage. C'est comme faire une course de voitures: tout le monde peut participer mais certains ont une Dacia les autres des Porsches....
Le jeu est 100% déséquilibré et cela semble empirer de version en version. Ce genre de jeu fonctionne via la participation financière d'une petite portion de la communauté de joueurs. Il y a fort à parier que pour ces joueurs (les 'baleines' dans le jargon) le service est VIP alors que les autres rament, comme des galériens.
En raison d'une mauvaise mécanique de formation des teams, WOT
se présente, dans les faits, très rarement comme un jeu de stratégie. De plus le développement à accentué ce point: plus de déséquilibres, cartes modifiées pour forcer le combat rapproché et donc plus d'arcade que de stratégie. J'insiste sur le déséquilibre: certains chars sont injouables si votre équipe ne vous assiste pas (e.g., artillerie et chasseurs de chars très lents).
Le moteur du jeu se comporte de façon TRES suspecte: dans un jeu vous ne pouvez pas toucher un éléphant immobile dans un (tout petit) couloir. Le jeu suivant, dans les mêmes conditions, vous devenez l'incarnation de la faucheuse en tirant un peu au hasard. Ce genre de problème s'accentue quand vous progressez en Tier (niveaux de jeu), le serveur prenant de plus en plus de décisions critiques.
En fait dans le jeu, à moins que vous ne tiriez en l'air,tout est plus ou moins pris en charge par le serveur:
- composition de votre équipe.
- système de détection (spot).
- système de tir.
- système de dommage/coups critiques.
Chacun de ces systèmes présente un comportement 'douteux' (bugs et/ou manipulations par le serveur) et variable au cours du temps.
La plupart des bugs (certains ruinent vraiment le jeu) n'ont pas étés résolus dans les patches successifs, les plus énervants concernent le système de détection et de tir.
Après avoir testé ce jeu en long, en large et en travers, je suis convaincu que c'est pas un bon jeu à cause de son aspect '100% serveur orienté'. En plus j'aime pas vraiment que l'éditeur/les commerciaux du jeu me prennent pour un andouille/jambon.
Plus grave, il règne une assez mauvaise ambiance sur le serveur du jeu et c'est nul pour un jeu en équipe. Rien ne semble fait pour limiter l'agressivité et certains comportement enfantins. Par exemple, il est toujours possible de communiquer avec l'adversaire quand la partie à commencée. Il s'ensuit des délations, des provocations, des insultes, etc... Le système de 'report' semble aussi efficace qu'une lettre au père Noël.
Il faudrait refaire ce jeu sans Freemium (mais les joueurs viendraient-ils?), via un moteur meilleur, avec un système pertinent d'équilibrage des parties et un système de punition réel pour le mauvais comportement sur les serveurs.
Je saque car partant d'un si bon concept le jeu s'est planté au cours du temps. Ajouter des cartes et des véhicules premiums, pardon mais cela ne ressemble pas à du développement.
Dire aux joueurs qu'on à corrigé des bugs alors que c'est pas vrai aussi.
Le concept de départ, batailles des chars en équipes de 15, est très bon et sans doute prometteur pour des jeux futurs. Au départ le jeu m'a vraiment intéressé. La réalisation est plus que moyenne. Le développement plus que inexistant. La publicité et la communication de l'éditeur pour ce jeu, 100% bidon.
Je m'explique, un peu, sans rentrer dans les détails pour cela vous pouvez aller voir les forums sur le net.
Le jeu est soi-disant Free to play, vrai mais en fait les utilisateurs premiums (qui payent donc) ont un énorme avantage. C'est comme faire une course de voitures: tout le monde peut participer mais certains ont une Dacia les autres des Porsches....
Le jeu est 100% déséquilibré et cela semble empirer de version en version. Ce genre de jeu fonctionne via la participation financière d'une petite portion de la communauté de joueurs. Il y a fort à parier que pour ces joueurs (les 'baleines' dans le jargon) le service est VIP alors que les autres rament, comme des galériens.
En raison d'une mauvaise mécanique de formation des teams, WOT
se présente, dans les faits, très rarement comme un jeu de stratégie. De plus le développement à accentué ce point: plus de déséquilibres, cartes modifiées pour forcer le combat rapproché et donc plus d'arcade que de stratégie. J'insiste sur le déséquilibre: certains chars sont injouables si votre équipe ne vous assiste pas (e.g., artillerie et chasseurs de chars très lents).
Le moteur du jeu se comporte de façon TRES suspecte: dans un jeu vous ne pouvez pas toucher un éléphant immobile dans un (tout petit) couloir. Le jeu suivant, dans les mêmes conditions, vous devenez l'incarnation de la faucheuse en tirant un peu au hasard. Ce genre de problème s'accentue quand vous progressez en Tier (niveaux de jeu), le serveur prenant de plus en plus de décisions critiques.
En fait dans le jeu, à moins que vous ne tiriez en l'air,tout est plus ou moins pris en charge par le serveur:
- composition de votre équipe.
- système de détection (spot).
- système de tir.
- système de dommage/coups critiques.
Chacun de ces systèmes présente un comportement 'douteux' (bugs et/ou manipulations par le serveur) et variable au cours du temps.
La plupart des bugs (certains ruinent vraiment le jeu) n'ont pas étés résolus dans les patches successifs, les plus énervants concernent le système de détection et de tir.
Après avoir testé ce jeu en long, en large et en travers, je suis convaincu que c'est pas un bon jeu à cause de son aspect '100% serveur orienté'. En plus j'aime pas vraiment que l'éditeur/les commerciaux du jeu me prennent pour un andouille/jambon.
Plus grave, il règne une assez mauvaise ambiance sur le serveur du jeu et c'est nul pour un jeu en équipe. Rien ne semble fait pour limiter l'agressivité et certains comportement enfantins. Par exemple, il est toujours possible de communiquer avec l'adversaire quand la partie à commencée. Il s'ensuit des délations, des provocations, des insultes, etc... Le système de 'report' semble aussi efficace qu'une lettre au père Noël.
Il faudrait refaire ce jeu sans Freemium (mais les joueurs viendraient-ils?), via un moteur meilleur, avec un système pertinent d'équilibrage des parties et un système de punition réel pour le mauvais comportement sur les serveurs.
Je saque car partant d'un si bon concept le jeu s'est planté au cours du temps. Ajouter des cartes et des véhicules premiums, pardon mais cela ne ressemble pas à du développement.
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