A Plague Tale: Requiem
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Grande fan de la saga Dragon Age, j'admets que j'ai toujours eu beaucoup d'attentes pour cette suite. Contrairement à certains qui ont perdu espoir dès les premiers trailers, j'étais pleine d'optimisme (en particulier parce que je me suis intéressée à l'univers étendu qui vendait un retour à une atmosphère sombre et désespérée).
Les dix premières heures de jeux sont franchement très agréables. Je reste persuadée que l'introduction et le premier acte sont les meilleurs points du jeu. La gameplay est devenu plus exigeant, il faut apprendre à maitriser l'esquive et les blocages très vite pour s'en sortir face à des ennemis vifs, capable d'enchainer divers combos. On change de DAI, dont la plupart regrettait le côté très simple et lisse des combats. N'étant pas habituée à ce style de jeu, j'admets avoir eu du mal à m'en sortir au début, surtout avec le principe des détonations, de l'arbre de compétences, etc qui n'a, comme je le disais, rien à voir avec tout ce qui s'est fait précédemment. Les premières "maps" montrent des lieux nouveaux, intrigants, bluffants pour la plupart et j'ai senti une vive excitation à l'idée d'explorer le Nord de Thédas pour la première fois.
L'univers en lui-même est très beau, pour un jeu de 2024 je pense que DATV n'a pas à rougir au niveau de ses graphismes ou de ses environnements. Chaque région à son identité visuelle, et j'apprécie encore me promener dans certaines. On retrouve d'ailleurs le côté ville à explorer, qui était une composante de DA2, et forêts ou plages remplies de ruines et de vestiges de civilisations passées.
Malheureusement, le côté RPG a complètement été délaissé par le jeu. Et à, par conséquent, impacté l'écriture des personnages qui en sont devenus (pour la plupart) fades. Je dois vous avouer, avec peine, que DATV n'a plus rien de la subtilité et de la complexité d'écriture de personnages que j'ai toujours adoré dans la saga Dragon Age. Seuls deux personnages restent, à mon sens, plutôt bien travaillés Emmrich et Lucanis tandis que les autres trainent difficilement la patte derrière.
Impossible de faire des choix dans ce nouveau volet, ou alors ce sont des choix SANS INCIDENCE. Je n'en reviens pas de dire ça d'un jeu DA tant les choix et les options de dialogue forgent l'identité de tous ses jeux. Notre personnage est bien trop gentil, et n'adapte pas ses dialogues en fonction de la roue de choix que nous avons (positif, sarcastique et ferme), ce qui m'a parfois donné l'impression d'être bloquée avec mon propre personnage et d'avoir à faire à une sorte de créature lunatique.
Par ailleurs, les romances, qui ont toujours été bien travaillés sont complètement à la ramasse. Il n'y a aucune quête exclusive à la romance, impossible d'interroger nos compagnons sur eux, leur passé, leurs convictions, etc. C'est idiot parce que l'on perd beaucoup en attachement, eux-mêmes sont d'ailleurs toujours trop gentils, trop "matures", ce qui induit un manque total de disputes ou de conflits entre eux (en dehors de quelques dialogues timides entre les compagnons) et avec nous. Impossible de s'opposer à eux ou eux de s'opposer à nous, ce qui donnait pourtant une intensité et une plausibilité dans les précédents jeux. Le système d'approbation est d'ailleurs complètement sous-exploité, à se demander pourquoi les développeurs ne l'ont pas tout simplement retiré du jeu.
Et ce qui me fait le plus mal au cœur, c'est que DA nous a toujours habitués à des écritures de personnages poussées. Je peux passer sur un gameplay un peu simple que d'autres peuvent décrier mais pas sur ce foirage complet des personnages.
De plus, si j'entends beaucoup de gens cracher à tort sur le soit-disant côté "woke" du jeu (arrêtez de vous bercer d'illusions, DA a toujours eu des personnages de couleurs ou de sexualités comme d'identités différentes, ça en arrange juste certains de l'oublier), forcé de constater que DATV ne sait pas gérer ce genre de sujets. Taash est assurément le plus bel exemple de cet échec. Iel se questionne sur son identité presque immédiatement l'avoir recruté (et il s'agit de balbutiements de réflexions, par d'une certitude qu'iel a) puis pouf, une quête plus tard le problème est réglé : aucune exploration sur ses questionnements, de ce que cela implique pour iel, des personnes avec qui iel pourrait en discuter pour nourrir sa réflexion et donc trouver ce qui lui convient. Et le personnage se montre très irrespectueux des autres entre-temps sans que nous ne puissions vraiment trop agir sur cette attitude. C'est vraiment dommage parce que DA m'a habitué à mieux, tellement mieux (je me souviens encore de Dorian et de sa quête personnelle, de sa subtilité d'écriture et de celle de son père qui ont d'ailleurs marqués beaucoup de joueurs et joueuses). Le problème n'est pas l'inclusion, DA a toujours trouvé le moyen d'inclure des personnages de tout horizons et d'y apporter de la profondeur, le problème c'est de le faire sans aucune nuance et de régler ça en deux minutes comme s'il était question de commander du café.
En dehors de ça, le jeu ne propose que quatre véritables ennemis (Antaam, Venatoris, Engeances et Statues), autant dire qu'on est loin de la diversité des précédents jeux. Et, ce qui m'énerve le plus, c'est que tous les antagonistes sont sous-exploités ; pour cause, il y en a trop. Le jeu n'a pas le temps de les introduire correctement ou de rendre leur menace palpable qu'il est déjà temps de les battre. Et lorsque leurs concepts sont fascinants c'est d'autant plus frustrant (je pense à toi Hozenkoss).
Comme je le disais, plus haut, le jeu est presque complètement dénué de choix. Et il est impossible de réellement se mettre ou mettre nos compagnons en danger. Je ne spoilerais pas, mais en dehors de deux choix qui m'ont surpris et touché), le reste est totalement inutile et fade.
J'aurais encore beaucoup à dire, et pas grand-chose de bien positif en dépit de tous mes espoirs. Le jeu ne vaut pas soixante euros, il y a quelques idées intéressantes, des révélations très sympathiques au regard des précédents jeux, un gameplay qui change et donne une sensation de vraie difficulté mais c'est tout. Au pire, si vous voulez vraiment acheter le jeu, attendez que le prix descende, vous aurez peut-être moins cette impression de de gâchis.
Et si vous appréciez le jeu tel qu'il est... Profitez-en pour moi, car j'aurais adoré faire partie des vôtres.
Les dix premières heures de jeux sont franchement très agréables. Je reste persuadée que l'introduction et le premier acte sont les meilleurs points du jeu. La gameplay est devenu plus exigeant, il faut apprendre à maitriser l'esquive et les blocages très vite pour s'en sortir face à des ennemis vifs, capable d'enchainer divers combos. On change de DAI, dont la plupart regrettait le côté très simple et lisse des combats. N'étant pas habituée à ce style de jeu, j'admets avoir eu du mal à m'en sortir au début, surtout avec le principe des détonations, de l'arbre de compétences, etc qui n'a, comme je le disais, rien à voir avec tout ce qui s'est fait précédemment. Les premières "maps" montrent des lieux nouveaux, intrigants, bluffants pour la plupart et j'ai senti une vive excitation à l'idée d'explorer le Nord de Thédas pour la première fois.
L'univers en lui-même est très beau, pour un jeu de 2024 je pense que DATV n'a pas à rougir au niveau de ses graphismes ou de ses environnements. Chaque région à son identité visuelle, et j'apprécie encore me promener dans certaines. On retrouve d'ailleurs le côté ville à explorer, qui était une composante de DA2, et forêts ou plages remplies de ruines et de vestiges de civilisations passées.
Malheureusement, le côté RPG a complètement été délaissé par le jeu. Et à, par conséquent, impacté l'écriture des personnages qui en sont devenus (pour la plupart) fades. Je dois vous avouer, avec peine, que DATV n'a plus rien de la subtilité et de la complexité d'écriture de personnages que j'ai toujours adoré dans la saga Dragon Age. Seuls deux personnages restent, à mon sens, plutôt bien travaillés Emmrich et Lucanis tandis que les autres trainent difficilement la patte derrière.
Impossible de faire des choix dans ce nouveau volet, ou alors ce sont des choix SANS INCIDENCE. Je n'en reviens pas de dire ça d'un jeu DA tant les choix et les options de dialogue forgent l'identité de tous ses jeux. Notre personnage est bien trop gentil, et n'adapte pas ses dialogues en fonction de la roue de choix que nous avons (positif, sarcastique et ferme), ce qui m'a parfois donné l'impression d'être bloquée avec mon propre personnage et d'avoir à faire à une sorte de créature lunatique.
Par ailleurs, les romances, qui ont toujours été bien travaillés sont complètement à la ramasse. Il n'y a aucune quête exclusive à la romance, impossible d'interroger nos compagnons sur eux, leur passé, leurs convictions, etc. C'est idiot parce que l'on perd beaucoup en attachement, eux-mêmes sont d'ailleurs toujours trop gentils, trop "matures", ce qui induit un manque total de disputes ou de conflits entre eux (en dehors de quelques dialogues timides entre les compagnons) et avec nous. Impossible de s'opposer à eux ou eux de s'opposer à nous, ce qui donnait pourtant une intensité et une plausibilité dans les précédents jeux. Le système d'approbation est d'ailleurs complètement sous-exploité, à se demander pourquoi les développeurs ne l'ont pas tout simplement retiré du jeu.
Et ce qui me fait le plus mal au cœur, c'est que DA nous a toujours habitués à des écritures de personnages poussées. Je peux passer sur un gameplay un peu simple que d'autres peuvent décrier mais pas sur ce foirage complet des personnages.
De plus, si j'entends beaucoup de gens cracher à tort sur le soit-disant côté "woke" du jeu (arrêtez de vous bercer d'illusions, DA a toujours eu des personnages de couleurs ou de sexualités comme d'identités différentes, ça en arrange juste certains de l'oublier), forcé de constater que DATV ne sait pas gérer ce genre de sujets. Taash est assurément le plus bel exemple de cet échec. Iel se questionne sur son identité presque immédiatement l'avoir recruté (et il s'agit de balbutiements de réflexions, par d'une certitude qu'iel a) puis pouf, une quête plus tard le problème est réglé : aucune exploration sur ses questionnements, de ce que cela implique pour iel, des personnes avec qui iel pourrait en discuter pour nourrir sa réflexion et donc trouver ce qui lui convient. Et le personnage se montre très irrespectueux des autres entre-temps sans que nous ne puissions vraiment trop agir sur cette attitude. C'est vraiment dommage parce que DA m'a habitué à mieux, tellement mieux (je me souviens encore de Dorian et de sa quête personnelle, de sa subtilité d'écriture et de celle de son père qui ont d'ailleurs marqués beaucoup de joueurs et joueuses). Le problème n'est pas l'inclusion, DA a toujours trouvé le moyen d'inclure des personnages de tout horizons et d'y apporter de la profondeur, le problème c'est de le faire sans aucune nuance et de régler ça en deux minutes comme s'il était question de commander du café.
En dehors de ça, le jeu ne propose que quatre véritables ennemis (Antaam, Venatoris, Engeances et Statues), autant dire qu'on est loin de la diversité des précédents jeux. Et, ce qui m'énerve le plus, c'est que tous les antagonistes sont sous-exploités ; pour cause, il y en a trop. Le jeu n'a pas le temps de les introduire correctement ou de rendre leur menace palpable qu'il est déjà temps de les battre. Et lorsque leurs concepts sont fascinants c'est d'autant plus frustrant (je pense à toi Hozenkoss).
Comme je le disais, plus haut, le jeu est presque complètement dénué de choix. Et il est impossible de réellement se mettre ou mettre nos compagnons en danger. Je ne spoilerais pas, mais en dehors de deux choix qui m'ont surpris et touché), le reste est totalement inutile et fade.
J'aurais encore beaucoup à dire, et pas grand-chose de bien positif en dépit de tous mes espoirs. Le jeu ne vaut pas soixante euros, il y a quelques idées intéressantes, des révélations très sympathiques au regard des précédents jeux, un gameplay qui change et donne une sensation de vraie difficulté mais c'est tout. Au pire, si vous voulez vraiment acheter le jeu, attendez que le prix descende, vous aurez peut-être moins cette impression de de gâchis.
Et si vous appréciez le jeu tel qu'il est... Profitez-en pour moi, car j'aurais adoré faire partie des vôtres.

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J'ai acheté le jeu un peu par hasard, en tombant sur son trailer. J'ai été tout de suite charmée par la musique et le gamedesign rétro qui m'a intrigué.
Franchement, je ne suis pas déçue ! L'OST est sublime, comme pour beaucoup de jeux indépendants d'ailleurs, et l'atmosphère bleutée, empreinte de mélancholie m'a directement plongée dedans.
Jeu de plateforme et un peu d'énigmes, Inmost demande un petit peu de réflexion mais rien d'insurmontable. Les contrôles sont faciles à prendre en main, et le fait que chaque personnage ait sa particularité rend le jeu très intéressant. Il faut vite apprendre à modifier son approche des niveaux en fonction de la filette, du vagabond et du chevalier (même si là encore, ce sont des différences très accessibles).
Le point fort du jeu est, à mon sens, son storytelling qui flirte gentiment avec le conte horrifique. Je n'en dirais pas plus pour ne spoiler personne, pour autant si vous aimez les jeux à la fois intenses émotionnellement et énigmatiques (les clés de compréhension du lore n'étant pas forcément évidentes), je vous le recommande !
Il se finit assez vite, en 5/6 heures (si vous ne faites pas le 100%) et je pense que c'est la juste durée pour ne pas tourner en rond avec son gameplay ainsi que son histoire.
Bref, Inmost est un petit jeu qui pourrait bien vous secouer et que tout le monde peux prendre en main.
Franchement, je ne suis pas déçue ! L'OST est sublime, comme pour beaucoup de jeux indépendants d'ailleurs, et l'atmosphère bleutée, empreinte de mélancholie m'a directement plongée dedans.
Jeu de plateforme et un peu d'énigmes, Inmost demande un petit peu de réflexion mais rien d'insurmontable. Les contrôles sont faciles à prendre en main, et le fait que chaque personnage ait sa particularité rend le jeu très intéressant. Il faut vite apprendre à modifier son approche des niveaux en fonction de la filette, du vagabond et du chevalier (même si là encore, ce sont des différences très accessibles).
Le point fort du jeu est, à mon sens, son storytelling qui flirte gentiment avec le conte horrifique. Je n'en dirais pas plus pour ne spoiler personne, pour autant si vous aimez les jeux à la fois intenses émotionnellement et énigmatiques (les clés de compréhension du lore n'étant pas forcément évidentes), je vous le recommande !
Il se finit assez vite, en 5/6 heures (si vous ne faites pas le 100%) et je pense que c'est la juste durée pour ne pas tourner en rond avec son gameplay ainsi que son histoire.
Bref, Inmost est un petit jeu qui pourrait bien vous secouer et que tout le monde peux prendre en main.

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Je m'attendais à un jeu très ouvert, basé sur une grande exploration et... Je suis déçue par la durée du jeu. Le quartier dans lequel nous nous déplaçons est très petit, et l'on en fait très vite le tour. J'ai terminé le jeu (pas à 100% mais presque) en un peu moins de 5 heures, sans vraiment me presser.
En dehors de cette déception, j'ai beaucoup aimé l'expérience de Little Kitty Big City. C'est un jeu relaxant devant lequel il fait bon de se poser lorsque l'on a simplement envie de se déconnecter et de faire quelques bêtises dans la peau d'un adorable chat.
Les quêtes sont variées, je les ai trouvé assez amusantes pour ma part ! Et me suis prise à collecter le plus de choses possibles afin d'obtenir le plus de succès possibles (alors que j'en ai habituellement horreur, ou que j'abandonne vite devant l'ampleur de la tâche).
Les rencontres avec leurs autres personnages sont mignonnes, et il m'a quelque peu peiné de ne pas fréquenter plus encore certains animaux du quartier. J'aurais bien aimé rester plus longtemps avec eux.
Bref, Little Kitty Big City est un jeu sans prise de tête, sympathique à faire une fois mais beaucoup trop court pour son postulat de départ. Si vous cherchez un jeu qui se tient sur la longueur, je ne vous le conseille pas. En revanche, si vous cherchez juste une petite expérience mignonne et tranquille, je vous le recommande chaudement !
En dehors de cette déception, j'ai beaucoup aimé l'expérience de Little Kitty Big City. C'est un jeu relaxant devant lequel il fait bon de se poser lorsque l'on a simplement envie de se déconnecter et de faire quelques bêtises dans la peau d'un adorable chat.
Les quêtes sont variées, je les ai trouvé assez amusantes pour ma part ! Et me suis prise à collecter le plus de choses possibles afin d'obtenir le plus de succès possibles (alors que j'en ai habituellement horreur, ou que j'abandonne vite devant l'ampleur de la tâche).
Les rencontres avec leurs autres personnages sont mignonnes, et il m'a quelque peu peiné de ne pas fréquenter plus encore certains animaux du quartier. J'aurais bien aimé rester plus longtemps avec eux.
Bref, Little Kitty Big City est un jeu sans prise de tête, sympathique à faire une fois mais beaucoup trop court pour son postulat de départ. Si vous cherchez un jeu qui se tient sur la longueur, je ne vous le conseille pas. En revanche, si vous cherchez juste une petite expérience mignonne et tranquille, je vous le recommande chaudement !

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Grande fan de la saga Professeur Layton, j'éprouve un grand attachement pour la trilogie originale qui a accompagné mon passage de l'enfance à l'adolescence. Ce sont des jeux qui me tiennent à cœur, comme beaucoup j'imagine.
Je ne savais pas trop quoi attendre de Katrielle, ayant été quelque peu déçue par les derniers jeux (Le Masque des Miracles et l'Héritage des Aslantes) mais je me suis dit qu'il y avait tout de même du potentiel pour renouveler la saga.
Parlons d'abord du positif ! Je pense que l'agence Layton est une bonne idée, car au lieu de suivre une seule enquête tout au fil du jeu, nous passons d'une enquête à l'autre et c'est assez rafraichissant.
Graphiquement, c'est très beau. On prend plaisir à se promener dans Londres et dans ses environs, à revisiter quelques endroits tels que l'Université ou Scotland Yard, et à en découvrir d'autres.
Les musiques sont assez sympathiques, même si nous en connaissions déjà une partie par les autres jeux de la licence.
Maintenant... Les points noirs.
Je trouve les personnages insipides au mieux, insupportables au pire. Katrielle et Oliver sont des stéréotypes genrés assez irritants. L'une est obsédée par la bouffe et la mode, fainéante au possible et l'autre sert de petit toutou obéissant à la première tout en étant amoureux d'elle. Je pense que ça ne dérangera pas tout le monde, mais c'est un gros point noir pour moi.
Ensuite les énigmes, je suis peut-être trop habituée à la logique des Professeur Layton ce qui ne me rend pas objective, elles sont trop simples. La plupart des énigmes réellement mathématiques ont disparu au profit d'énigmes type "horloge". En gros, il vous suffira d'avoir une montre ou une horloge à portée pour résoudre ces énigmes. Toutefois, comme je le précisais, je pense que s'il s'agit de votre première expérience sur un jeu de ce type vous pourriez éprouver quelques difficultés pour certaines énigmes spécifiques.
Bien, les enquêtes à présent... Et c'est là que le bas blesse, la plupart sont d'une niaiserie confondante. Je suis d'accord pour dire que les Professeur Layton ont toujours été loufoques, mais jamais à un tel niveau. Deux enquêtes sont particulièrement ennuyeuses (l'une ne consiste qu'à retrouver un animal disparu, et l'autre à trouver un cadeau pour la femme d'une de nos connaissances). Et, de manière générale, beaucoup d'informations ne nous sont pas accessibles à nous, le joueur. Ce qui est particulièrement dommageable dans la dernière enquête. Nous n'éprouvons donc pas se plaisir à rejouer et à nous dire "Ah oui, en fait cet évènement étrange cachait ça et ça", "Oh, mais ceci explique cela".
De plus, quid la nuance, bonjour ce monde où tout le monde il est gentil et où personne ne mérite d'être puni. Et, clairement, pour un jeu qui passe après le Destin Perdu qui faisait preuve d'une certaine maturité dans son écriture de personnage... Ouch. C'est vraiment décevant.
Je suis également obligée de me mettre du côté de certaines autres critiques par rapport à la présence de cosmétiques inutiles, tel que le changement de vêtements de notre personnage principal ou l'agencement de son bureau, et au fait que plusieurs mystères sont tout juste évoqués mais jamais résolus. Par exemple, nous sommes abordés dès le début du jeu par un chien parlant amnésique auquel nous promettons de retrouver la véritable identité et ce n'est plus jamais évoqué par les personnages. A croire que notre bon ami se satisfait de sa condition sans sourciller alors que sa quête d'identité lui semblait pourtant primordial au début du jeu. Même chose pour tout le mystère entourant la "disparition" d'Hershel.
Bref, je suis très déçue par Katrielle. Néanmoins, peut-être que si vous n'avez jamais joué aux autres jeux vous prendrez plaisir à découvrir la saga par cet opus.
Vous pouvez le tenter, pour ma part je considère que c'est une occasion manquée.
Je ne savais pas trop quoi attendre de Katrielle, ayant été quelque peu déçue par les derniers jeux (Le Masque des Miracles et l'Héritage des Aslantes) mais je me suis dit qu'il y avait tout de même du potentiel pour renouveler la saga.
Parlons d'abord du positif ! Je pense que l'agence Layton est une bonne idée, car au lieu de suivre une seule enquête tout au fil du jeu, nous passons d'une enquête à l'autre et c'est assez rafraichissant.
Graphiquement, c'est très beau. On prend plaisir à se promener dans Londres et dans ses environs, à revisiter quelques endroits tels que l'Université ou Scotland Yard, et à en découvrir d'autres.
Les musiques sont assez sympathiques, même si nous en connaissions déjà une partie par les autres jeux de la licence.
Maintenant... Les points noirs.
Je trouve les personnages insipides au mieux, insupportables au pire. Katrielle et Oliver sont des stéréotypes genrés assez irritants. L'une est obsédée par la bouffe et la mode, fainéante au possible et l'autre sert de petit toutou obéissant à la première tout en étant amoureux d'elle. Je pense que ça ne dérangera pas tout le monde, mais c'est un gros point noir pour moi.
Ensuite les énigmes, je suis peut-être trop habituée à la logique des Professeur Layton ce qui ne me rend pas objective, elles sont trop simples. La plupart des énigmes réellement mathématiques ont disparu au profit d'énigmes type "horloge". En gros, il vous suffira d'avoir une montre ou une horloge à portée pour résoudre ces énigmes. Toutefois, comme je le précisais, je pense que s'il s'agit de votre première expérience sur un jeu de ce type vous pourriez éprouver quelques difficultés pour certaines énigmes spécifiques.
Bien, les enquêtes à présent... Et c'est là que le bas blesse, la plupart sont d'une niaiserie confondante. Je suis d'accord pour dire que les Professeur Layton ont toujours été loufoques, mais jamais à un tel niveau. Deux enquêtes sont particulièrement ennuyeuses (l'une ne consiste qu'à retrouver un animal disparu, et l'autre à trouver un cadeau pour la femme d'une de nos connaissances). Et, de manière générale, beaucoup d'informations ne nous sont pas accessibles à nous, le joueur. Ce qui est particulièrement dommageable dans la dernière enquête. Nous n'éprouvons donc pas se plaisir à rejouer et à nous dire "Ah oui, en fait cet évènement étrange cachait ça et ça", "Oh, mais ceci explique cela".
De plus, quid la nuance, bonjour ce monde où tout le monde il est gentil et où personne ne mérite d'être puni. Et, clairement, pour un jeu qui passe après le Destin Perdu qui faisait preuve d'une certaine maturité dans son écriture de personnage... Ouch. C'est vraiment décevant.
Je suis également obligée de me mettre du côté de certaines autres critiques par rapport à la présence de cosmétiques inutiles, tel que le changement de vêtements de notre personnage principal ou l'agencement de son bureau, et au fait que plusieurs mystères sont tout juste évoqués mais jamais résolus. Par exemple, nous sommes abordés dès le début du jeu par un chien parlant amnésique auquel nous promettons de retrouver la véritable identité et ce n'est plus jamais évoqué par les personnages. A croire que notre bon ami se satisfait de sa condition sans sourciller alors que sa quête d'identité lui semblait pourtant primordial au début du jeu. Même chose pour tout le mystère entourant la "disparition" d'Hershel.
Bref, je suis très déçue par Katrielle. Néanmoins, peut-être que si vous n'avez jamais joué aux autres jeux vous prendrez plaisir à découvrir la saga par cet opus.
Vous pouvez le tenter, pour ma part je considère que c'est une occasion manquée.

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Après regardé un let's play, je me suis décidé à acheter le jeu. J'avais envie de tester des gameplay différents de mes habitudes et à ce niveau, je n'ai pas été déçue. C'est très déstabilisant - dans le bon sens - de passer d'un jeu type soul-like à un jeu d'infiltration.
Personnellement, j'ai beaucoup aimé l'expérience ! Les "boss" à proprement parler sont rares, quasiment inexistant, et il est surtout question de ruse dans A Plague Tale. Amicia, votre personnage, n'est pas une guerrière - même si sa fronde permet d'attaquer ou de tuer à certains moments - et l'esprit sera son meilleur atout.
L'histoire et les graphismes sont très bons, tandis que d'excellentes musiques agrémentent notre périple afin d'échapper à l'Inquisition et ses sombres desseins. Sur notre route, nous faisons la rencontre d'autres enfants tous très bien écrits, chacun ayant ses points forts. Ils sont tous très attachants, même si j'admets avoir été - comme toute bonne grande soeur - quelque peu agacée par le comportement d'Hugo, notre adorable - peut-être pas autant que nous le croyons - petit-frère.
Le jeu et assez court, et également assez simple. En dehors de quelques moments très spécifiques, je n'ai pas éprouvé de grande difficulté à avancer. J'admets rester un peu sur ma faim au dénouement du jeu, et j'aurais appréciée poursuivre mon aventure quelques heures de plus.
Dans l'ensemble, c'est un excellent jeu d'infiltration même s'il pourra frustrer sur la longueur ou la "linéarité" de son gameplay. Je vous le conseille, mais n'hésitez pas à croiser les avis !
Personnellement, j'ai beaucoup aimé l'expérience ! Les "boss" à proprement parler sont rares, quasiment inexistant, et il est surtout question de ruse dans A Plague Tale. Amicia, votre personnage, n'est pas une guerrière - même si sa fronde permet d'attaquer ou de tuer à certains moments - et l'esprit sera son meilleur atout.
L'histoire et les graphismes sont très bons, tandis que d'excellentes musiques agrémentent notre périple afin d'échapper à l'Inquisition et ses sombres desseins. Sur notre route, nous faisons la rencontre d'autres enfants tous très bien écrits, chacun ayant ses points forts. Ils sont tous très attachants, même si j'admets avoir été - comme toute bonne grande soeur - quelque peu agacée par le comportement d'Hugo, notre adorable - peut-être pas autant que nous le croyons - petit-frère.
Le jeu et assez court, et également assez simple. En dehors de quelques moments très spécifiques, je n'ai pas éprouvé de grande difficulté à avancer. J'admets rester un peu sur ma faim au dénouement du jeu, et j'aurais appréciée poursuivre mon aventure quelques heures de plus.
Dans l'ensemble, c'est un excellent jeu d'infiltration même s'il pourra frustrer sur la longueur ou la "linéarité" de son gameplay. Je vous le conseille, mais n'hésitez pas à croiser les avis !

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C'est la première fois que je teste un "soul-like" et je suis plutôt ravie d'avoir commencé par Steelrising. Je pense que c'est une bonne introduction à ce type de gameplay, avec un univers et un concept intriguant.
N'étant pas habituée aux jeux de ce style, j'admets avoir "baissé" la difficulté du jeu en bidouillant les réglages de l'aide au joueur. Ce sera vu comme une trahison par certains, mais cela m'aura permis de me familiariser avec le gameplay et j'ai maintenant hâte de recommencer le jeu pour me frotter à sa véritable difficulté.
J'ai éprouvé beaucoup de plaisir à me frotter aux différents boss du jeu (même si j'avoue avoir été quelque peu frustrée par certains d'entre eux), et à me battre dans les différents quartiers de Paris. Comme beaucoup, je trouve juste dommage de devoir se retaper tout le chemin au travers des différents niveaux pour remplir des quêtes tertiaires, mais si l'on se débrouille bien il est facile de minimiser les allers-retours et d'éviter certains affrontements.
Au niveau de l'histoire du jeu, je suis assez sceptique. D'un côté, j'ai beaucoup apprécié cet univers, cette réécriture de l'histoire qui se base tout de même sur des faits et relations réelles (Louis XVI était en effet très porté sur les mécanismes de serrurerie et d'horlogerie, ce qui donne une certaine justification à la création et l'expansion des automates). D'un autre côté, je ne peux m'empêcher de voir les autres simplifications histoires et l'ennui que provoquent la plupart des discussions avec les PNJ qui nous accompagnent au long de notre voyage.
En revanche, j'aime beaucoup le cheminement de notre personnage, Aegis, et j'ai été très touchée par la fin que lui a offert le jeu.
En somme, je dirais que Steelrising est un soul-like accessible et que c'est donc une bonne entrée en matière dans le genre. Les hardgamers s'en plaignent mais je ne me range pas de leur côté car j'ai beaucoup de tendresse pour ce que Steelrising a voulu développer. J'y reviendrais avec certitude, histoire de mettre ma compréhension du gamepaly à l'épreuve, et je vous invite à le tester si le cœur vous en dit.
Ce n'est certainement pas le meilleur du genre, toutefois il vaut la peine qu'on lui laisse sa chance.
N'étant pas habituée aux jeux de ce style, j'admets avoir "baissé" la difficulté du jeu en bidouillant les réglages de l'aide au joueur. Ce sera vu comme une trahison par certains, mais cela m'aura permis de me familiariser avec le gameplay et j'ai maintenant hâte de recommencer le jeu pour me frotter à sa véritable difficulté.
J'ai éprouvé beaucoup de plaisir à me frotter aux différents boss du jeu (même si j'avoue avoir été quelque peu frustrée par certains d'entre eux), et à me battre dans les différents quartiers de Paris. Comme beaucoup, je trouve juste dommage de devoir se retaper tout le chemin au travers des différents niveaux pour remplir des quêtes tertiaires, mais si l'on se débrouille bien il est facile de minimiser les allers-retours et d'éviter certains affrontements.
Au niveau de l'histoire du jeu, je suis assez sceptique. D'un côté, j'ai beaucoup apprécié cet univers, cette réécriture de l'histoire qui se base tout de même sur des faits et relations réelles (Louis XVI était en effet très porté sur les mécanismes de serrurerie et d'horlogerie, ce qui donne une certaine justification à la création et l'expansion des automates). D'un autre côté, je ne peux m'empêcher de voir les autres simplifications histoires et l'ennui que provoquent la plupart des discussions avec les PNJ qui nous accompagnent au long de notre voyage.
En revanche, j'aime beaucoup le cheminement de notre personnage, Aegis, et j'ai été très touchée par la fin que lui a offert le jeu.
En somme, je dirais que Steelrising est un soul-like accessible et que c'est donc une bonne entrée en matière dans le genre. Les hardgamers s'en plaignent mais je ne me range pas de leur côté car j'ai beaucoup de tendresse pour ce que Steelrising a voulu développer. J'y reviendrais avec certitude, histoire de mettre ma compréhension du gamepaly à l'épreuve, et je vous invite à le tester si le cœur vous en dit.
Ce n'est certainement pas le meilleur du genre, toutefois il vaut la peine qu'on lui laisse sa chance.

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Dream Daddy est un petit jeu que j'apprécie ! Un light novel avec une excellente patte artistique, des environnements et personnages très charmants. C'est un véritable bijou pour les yeux, qui représente parfaitement les différentes ambiances, "dates" et maisons. Je trouve que l'on perçoit beaucoup par les décors, et le chara-design. Par ailleurs, les papas romanceables sont tous différents et intéressants de leur propre façon. J'ai mes petits chouchous (Brian, Robert et Damien) mais je suis certaine que vous pourrez trouver le papa de vos rêves ! Qu'il s'agisse de l'homme mystérieux, bad-boy sur les bords mais qui ne demande que votre confiance pour changer ; de votre bro récemment divorcé, sportif et bien trop stressé par sa condition de père ; du professeur de lycée qui ne demande qu'à vous surprendre, etc.
Bien évidemment, les dialogues sont aux petits oignons et les blagues de papa nombreuses. L'humour du jeu ne vous fera peut-être pas bondir ou hurler de rire, toutefois vous êtes certain.e.s de sourire souvent. D'autres sont très émouvants, en particulier lorsqu'ils concernent votre relation père/fille. Amanda, votre fille, est une adolescente tout simplement adorable, un brin rebelle mais véritablement intéressée par votre sort. Elle se soucie de vous, et vous vous souciez d'elle. Bref, même si vous n'arrivez pas à sortir avec le père de vos désirs, Amanda vous permet tout de même de reconsidérer les choses avec grande sagesse !
La plupart des personnages sont attachants ! Bref, Dream Daddy est un light novel qui sait émouvoir.
En revanche, ne vous attendez pas à jouer des heures durant. Les romances se terminent rapidement, après trois dates consécutifs (avec la même cible, je précise) votre histoire se conclut. Dream Daddy vous propose tout de même des rencontres en dehors des dates, des activités, etc avec les pères de votre quartier. Cela vous permet d'en apprendre plus sur certains papas, de vous attacher à certains et de sourire devant le comic de diverses situations.
Les mini-jeux proposés sont tous différents, plus ou moins faciles en fonction de votre réactivité ou de vos habitudes de joueur. J'ai parfois la sensation que plusieurs d'entre eux sont déséquilibrés, oscillant de la facilité enfantine à la difficulté exagérée. Si vous réussissez du premier coup tous les mini-jeux de Brian... Je vous tire mon chapeau !
Pour chaque père (y compris pour votre charmante fille), vous avez droit à une bonne et une mauvaise fin. Tout dépendra des liens que vous aurez tissés, des paroles que vous prononcerez et de leurs conséquences.
Je n'en dirais pas plus. Si le jeu vous intéresse, testez-le.
Sachez-le, ça n'a jamais été aussi drôle et émouvant de draguer un ou plusieurs papas !
Bien évidemment, les dialogues sont aux petits oignons et les blagues de papa nombreuses. L'humour du jeu ne vous fera peut-être pas bondir ou hurler de rire, toutefois vous êtes certain.e.s de sourire souvent. D'autres sont très émouvants, en particulier lorsqu'ils concernent votre relation père/fille. Amanda, votre fille, est une adolescente tout simplement adorable, un brin rebelle mais véritablement intéressée par votre sort. Elle se soucie de vous, et vous vous souciez d'elle. Bref, même si vous n'arrivez pas à sortir avec le père de vos désirs, Amanda vous permet tout de même de reconsidérer les choses avec grande sagesse !
La plupart des personnages sont attachants ! Bref, Dream Daddy est un light novel qui sait émouvoir.
En revanche, ne vous attendez pas à jouer des heures durant. Les romances se terminent rapidement, après trois dates consécutifs (avec la même cible, je précise) votre histoire se conclut. Dream Daddy vous propose tout de même des rencontres en dehors des dates, des activités, etc avec les pères de votre quartier. Cela vous permet d'en apprendre plus sur certains papas, de vous attacher à certains et de sourire devant le comic de diverses situations.
Les mini-jeux proposés sont tous différents, plus ou moins faciles en fonction de votre réactivité ou de vos habitudes de joueur. J'ai parfois la sensation que plusieurs d'entre eux sont déséquilibrés, oscillant de la facilité enfantine à la difficulté exagérée. Si vous réussissez du premier coup tous les mini-jeux de Brian... Je vous tire mon chapeau !
Pour chaque père (y compris pour votre charmante fille), vous avez droit à une bonne et une mauvaise fin. Tout dépendra des liens que vous aurez tissés, des paroles que vous prononcerez et de leurs conséquences.
Je n'en dirais pas plus. Si le jeu vous intéresse, testez-le.
Sachez-le, ça n'a jamais été aussi drôle et émouvant de draguer un ou plusieurs papas !

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Beaucoup de gens se plaignent de ce dernier opus, pour ma part je l'ai beaucoup apprécié. Les personnages y sont très attachants, l'univers esthétique de LiS est toujours présent et je trouve même que la saga gagne en fluidité avec le temps.
Une partie des fans se plaignent du manque de choix de cet opus, et j'avoue ne pas les comprendre. Contrairement au premier LiS où la seule réelle décision impactante était à la fin, ce sont tous les petits choix que nous prenons avec notre frère qui construisent le destin ici. Je pense que les gens se fourvoient sur l'impact des choix sur ce jeu, et sur la saga en elle-même. Prendre pleins de petites décisions n'aura pas spécialement d'impact, tout comme les discussions d'apparence anodines peuvent en avoir davantage.
Le jeu est suffisamment long à mon goût, même si quelques heures de plus ne seraient pas de trop.
Comme je le disais, les personnages principaux sont très attachants, même si j'ai souvent eu envie de donner une gifle à Daniel. J'ai toutefois l'impression qu'il agit réellement comme un petit garçon, et non comme un modèle de perfection que l'on peut retrouver dans certains films ou autres œuvres. Sean est très touchant, tout comme les autres personnages que l'on rencontre au fil de l'aventure.
Bref, je vous le recommande chaudement ! C'est un excellent road-trip initiatique pour deux frères en quête d'un nouveau foyer.
Une partie des fans se plaignent du manque de choix de cet opus, et j'avoue ne pas les comprendre. Contrairement au premier LiS où la seule réelle décision impactante était à la fin, ce sont tous les petits choix que nous prenons avec notre frère qui construisent le destin ici. Je pense que les gens se fourvoient sur l'impact des choix sur ce jeu, et sur la saga en elle-même. Prendre pleins de petites décisions n'aura pas spécialement d'impact, tout comme les discussions d'apparence anodines peuvent en avoir davantage.
Le jeu est suffisamment long à mon goût, même si quelques heures de plus ne seraient pas de trop.
Comme je le disais, les personnages principaux sont très attachants, même si j'ai souvent eu envie de donner une gifle à Daniel. J'ai toutefois l'impression qu'il agit réellement comme un petit garçon, et non comme un modèle de perfection que l'on peut retrouver dans certains films ou autres œuvres. Sean est très touchant, tout comme les autres personnages que l'on rencontre au fil de l'aventure.
Bref, je vous le recommande chaudement ! C'est un excellent road-trip initiatique pour deux frères en quête d'un nouveau foyer.

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Le troisième opus de la saga DA en a déçu certains, mais ce ne fut pas mon cas. J'ai tout simplement adoré DAI, le jeu n'est pas parfait néanmoins il fait honneur à la saga.
J'entends souvent que le jeu a perdu en maturité, ou en côte "sombre", et même s'il est vrai que certains choix ou rencontres ne sont plus aussi glauques qu'auparavant, je trouve que le jeu compense parfaitement. La maturité d'une oeuvre ne se calcule pas au degré de d'horreur qui la traverse, cela donne une ambiance oppressante qui n'était certainement pas désiré dans ce jeu-ci. Je pense que la maturité de DAI s'expose aux travers des missions des conseillers, des procès et de toutes les autres petits options (dont la quête Yeux sombres et cœur cruel). Il s'agit de grandir et de s'affirmer en tant que force diplomatique et militaire au milieu de nations, empires et royaumes qui peinent à s'accorder ou d'autres conflits qui animent différents parties. Evidemment ce côté plus "bavard" pourra en déranger certains, mais ce n'est pas une mauvaise chose en soi. Changer de ton, tout en restant dans un univers cohérent permet à la saga d'évoluer au lieu de n'être qu'un même qu'une copie/conforme d'un même jeu.
Les personnages sont, comme toujours selon moi, le meilleur atout du jeu. Sans eux, qu'ils soient alliés ou ennemis, je doute que DA fonctionne aussi bien. Bioware prouve, une fois encore, qu'il est capable de gérer autant de personnalités, autant d'histoires et de conflits. Si je n'avais qu'une raison de vous conseiller DA, ce serait pour le plaisir de fréquenter et partager une aventure épique avec ces personnages.
En plus de tout cela, l'univers graphique et les cinématiques deviennent de plus en plus fluides. C'est un véritable plaisir pour les yeux, même si on ne peut espérer la perfection. Il y a toujours quelques bugs, des pépites visuels qui sont assez drôles, pourtant dans l'ensemble, c'est une vraie réussite. Les maps sont aussi diverses que magnifiques, si bien que je peux prendre quelques minutes pour seulement admirer le paysage.
Pour ce qui fâche maintenant... La difficulté du jeu est un peu décevante par rapport à ce à quoi nous fûmes habitués. Peut-être Bioware a-t-il tenu compte de différentes critiques afin de rendre le jeu plus accessible ? En tout cas les vagues insupportables d'ennemis ont presque complètement disparues. De même le combat final, bien qu'épique au niveau de sa mise en scène, reste pour moins la plus grande déception du jeu. Il est trop simple, certainement trop rapide, ce pourquoi je conseille à tous les joueurs d'acheter le DLC intrus, qui lui se ressent comme une véritable conclusion.
J'aurais encore bon nombre de choses à dire, mais je pense que cela suffira. Beaucoup d'autres points ont été soulevés par les autres joueurs, je pense que vous êtes donc le plus à même de vous décider. Quoiqu'il en soit, j'aime toujours autant cette saga et j'attends le quatrième opus avec impatience.
J'entends souvent que le jeu a perdu en maturité, ou en côte "sombre", et même s'il est vrai que certains choix ou rencontres ne sont plus aussi glauques qu'auparavant, je trouve que le jeu compense parfaitement. La maturité d'une oeuvre ne se calcule pas au degré de d'horreur qui la traverse, cela donne une ambiance oppressante qui n'était certainement pas désiré dans ce jeu-ci. Je pense que la maturité de DAI s'expose aux travers des missions des conseillers, des procès et de toutes les autres petits options (dont la quête Yeux sombres et cœur cruel). Il s'agit de grandir et de s'affirmer en tant que force diplomatique et militaire au milieu de nations, empires et royaumes qui peinent à s'accorder ou d'autres conflits qui animent différents parties. Evidemment ce côté plus "bavard" pourra en déranger certains, mais ce n'est pas une mauvaise chose en soi. Changer de ton, tout en restant dans un univers cohérent permet à la saga d'évoluer au lieu de n'être qu'un même qu'une copie/conforme d'un même jeu.
Les personnages sont, comme toujours selon moi, le meilleur atout du jeu. Sans eux, qu'ils soient alliés ou ennemis, je doute que DA fonctionne aussi bien. Bioware prouve, une fois encore, qu'il est capable de gérer autant de personnalités, autant d'histoires et de conflits. Si je n'avais qu'une raison de vous conseiller DA, ce serait pour le plaisir de fréquenter et partager une aventure épique avec ces personnages.
En plus de tout cela, l'univers graphique et les cinématiques deviennent de plus en plus fluides. C'est un véritable plaisir pour les yeux, même si on ne peut espérer la perfection. Il y a toujours quelques bugs, des pépites visuels qui sont assez drôles, pourtant dans l'ensemble, c'est une vraie réussite. Les maps sont aussi diverses que magnifiques, si bien que je peux prendre quelques minutes pour seulement admirer le paysage.
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J'aurais encore bon nombre de choses à dire, mais je pense que cela suffira. Beaucoup d'autres points ont été soulevés par les autres joueurs, je pense que vous êtes donc le plus à même de vous décider. Quoiqu'il en soit, j'aime toujours autant cette saga et j'attends le quatrième opus avec impatience.
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