Une pépite, un vrai plaisir, mais pas pour tout le monde. 10/10

Si vous avez envie d'un survival musclé, rythmé, plein d'action, avec une technique irréprochable, n'achetez pas.

Par contre, si vous cherchez un thème 1930 / NOIR / détective, à la Sinking City, ou Sherlock Holmes : the awakened, avec une ambiance travaillée, alors je recommande totalement.

Le jeu offre un hommage appuyé aux vieux Alone in the dark des années 1990, ce que peu de monde a compris. Hélas il n'a pas rencontré le succès voulu, mais au final, ça a cassé le prix très vite, donc vous en sortez gagnant(e)... comme moi.

Il vient d'être patché (29 mai 2024) et tourne très bien chez moi.

Je crois qu'il est grand temps de se retrouver seul(e) dans le noir, non ?

Un des meilleurs jeux de cartes /deckbuilding sur pc, à un prix dérisoire... peut-être parce qu'il n'a pas trouvé la gloire dans la foule des clones de Slay The Spire ?

Donnez-lui sa chance !

Il est complexe, addictif, méritant et soigné.

Blasphemous est un metroidvania gothique et masochiste basé sur le thème de l'expiation, le dépassement de soi et la rédemption. Expérience de toute beauté, qui vous prend aux tripes et vous pousse aux larmes, mais aussi à de purs instants de gloire personnelle, mains levées devant l'écran.

C'est comme si Skyrim avait eu un bébé avec Graveyard keeper.

Monde ouvert, exploration, découverte, combats, collecte & craft, dans un monde cohérent et mystérieux servi par des graphismes mignons. Un grand oui.

Survie collective, exploration, relation de groupe, gestion de ressources, surprises diverses et combats au tour par tour !

Dead in Vinland est une excellente surprise pour celles et ceux qui cherchent à se prendre la tête en mode 4X ... sauf que d'habitude, dans les 4X (Explore / Expand / Exploit / Exterminate), c'est toi qui le patron... ici la famille viking a subir le joug d'un oppresseur dont il faudra se défaire tout en essayant de croître dans l'ombre... un pur délice masochiste.

Très franchement déçue.

J'ai écumé l'ancien, et comme beaucoup de monde j'étais hypée par son remake, en me disant que ça allait repartir à fond (j'avais même remeuté les potes survivants !).

Hélas, la map du jeu semble d'un autre âge, et sortir un jeu de kart à 30 fps sur Xbox One, ça me laisse sur les fesses. De plus, l'angle de vue a un effet fisheye un peu dégueu.

L'édition collector apporte des persos ou des skins pas très agréables non plus.

Non pas qu'il soit mauvais, mais sincèrement, je me suis faite rembourser.

Skyrim + Tomb Raider + Ark + Fallout = Horizon Dawn.

L'aventure, l'émotion, la beauté, tout concourt pour mouiller les yeux, faire battre le coeur et ouvrir l'esprit.

Une bonne claque comme on en prend pas si souvent.

C'est devenu un classique. Je recommande ardemment de le prendre en combo avec "Enter the Gungeon", qui le complète en le renouvelant. Du shoot-em-up / Bullet-hell / roguelike avec une D.A léchée, du pixel de luxe, supplément musique hypnotique.
Ne prêtez pas attention à la critique de mon confrère qui lui a mis un 10. Juste un rageux mal réveillé.

C'est devenu un classique. Je recommande ardemment de le prendre en combo avec "Exit the Gungeon", qui le complète en le renouvelant. Du shoot-em-up / Bullet-hell / roguelike avec une D.A léchée, du pixel de luxe, supplément musique hypnotique.

Excellente pioche !
Je n'en attendais rien, et ce jeu Indiana-like se montre très savoureux, que ce soit la direction artistique, l'ambiance, le gameplay, avec ce petit côté pop-corn qui donne le sourire et sa technique irréprochable.

Excellent beat'em all, au ton décalé, qui s'apprécie en solo ou multi (même online) et qui propose d'ajuster la difficulté comme on le souhaite.
Le jeu n'est pas très ambitieux mais fait le job et à ce prix...

Non seulement c'est un chef d'oeuvre pour un prix dérisoire, mais en plus (ce n'est pas indiqué donc ce fut une belle surprise) il y a le ROI LION avec !
De la plate-forme de qualité pour des sessions avec (ou sans) kids.

"ATELIER PRALINE ET SES AMIS : fais-moi courir, bb"
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Attention, je ne viens pas cracher sur ce jeu, encore moins sur la licence, son ambiance, sa mécanique ou son orientation.
J'évoque mon ressenti sur un rapport qualité-prix, et, forcément, je compare. J'ai commencé à jouer en 1990.

Tu ne peux pas demander autant d'argent (même la version de base à 36€ un an après la sortie) pour un produit aussi léger.
Pense qu'un "Final Fantasy", un "Tales of...", n'est jamais aussi cher, et pourtant la qualité te saute aux yeux, que ce soit techniquement, artistiquement ou au niveau du système de jeu, ou même des DLC (exemple : "Berseria").

Je n'ai touché à Ryza qu'une bonne heure, mais ce que j'ai vu, entendu et palpé, me semble très très en dessous du prix exigé.
Koei-Tecmo, qui je le rappelle, sont connus pour leurs prix exorbitants et leurs DLC à date de péremption, va vous la mettre comme il faut, ou plutôt "komifo", comme on dit à Vierzon.

On commence ?
*craquements de doigts*

=> Cinématique d'intro et suivantes inintéressantes : c'est l'été, on se fait ch*er, y'a rien à faire au village, si on allait voir le nouveau marchand qui vient d'arriver ? Pas trop le temps de présenter les persos, on y va.

=> Allers-retours en suivant l'icône de la map, sans cesse. Si tu veux aller voir ailleurs, on te rappelle à l'ordre. C'est pas par là, voyons.

=> Murs invisibles (j'adore)

=> Saut complètement WTF (il faut la voir sauter, pour le croire, indescriptible : elle est comme poussée en avant par un coup de vent mou, avec un bruitage Swhhh juste inacceptable, surtout en combo avec un mur invisible).

=> Textures très variables, un côté Playstation 2 ou 3 par moments (particulièrement le sol et les arrière-plans)

=> Les PNJS croisés n'ont pas souvent quelque chose à dire, ils disparaissent même si on s'approche trop près -!-

=> Animations très sommaires, surtout lors des dialogues (vaut mieux ne pas regarder les bouches...)

=> Les personnages sont partiellement animés, vous verrez certaines parties du corps (par exemple les 2 mèches qui pendent et les deux seins qui boiiing-boiiiing, sur Ryza) mais le reste est totalement immobile, figé. Les persos ne sont pas très bien intégrés aux décors non plus. Le character design fait passer "Dragon Quest XI", "Tales of ce-que-tu-veux" et même "Final Fantasy X" pour des chefs d'oeuvre dignes du Louvre.

=> Prends ta dose d'aliasing sur l'herbe, c'est offert (aucune option ne permet de le vaincre)

=> Proportions très spéciales : la caméra se fixe bien juste sous les fesses de Ryza, mais il ne faut pas demander à regarder trop haut, trop bas, y'a pas, et en combat, le postérieur de notre charmante villageoise est carrément devant le caméra, on a limite envie de lui demander de se pousser.

=> Doublage japonais correct, sous-titres EN PLEIN MILIEU DE L'ECRAN (on a jamais vu ça nulle part)

=> Ryza est certes une villageoise très avenante, parce qu'elle a deux gros arguments qui se balancent quand elle court, mais elle est escortée par un grand dadais bien niais et un corniaud qui a un look de victime de harcèlement scolaire. Pas très dur de briller au milieu des déchets. Je sais bien qu'on est censés s'attacher à la bande, qui s'agrandit par la suite, mais très honnêtement ils n'ont rien à dire d'intéressant. Mettez côte-à-côte la première heure sur "Final Fantasy XIII" et celle de Ryza. Que constatez-vous ? sans commentaire.

=> Les combats sont mous du genou, commencent par un bon gros blur, se terminent sur un bon vieux flash blanc (imaginez pendant 100h), et lorsqu'on attend son tour, à part reluquer les fesses de Ryza... remarque, oui, je comprends... mais... donne moi quelque chose à faire quand même.

Vous l'aurez compris, pour moi c'est refund / remboursement, et je ne suis pas sûr de pouvoir me faire rembourser les DLCs honteux que j'ai ajoutés à mes frais du jour.

Bien sûr, l'alchimie a l'air sympa, les combats semblaient prometteurs, et l'enrobage tout mignonnet, sur une aventure d'été avec des gros seins, c'est sûrement agréable, je ne dis pas le contraire.

Mais f*ck Koei-Tecmo, ses prix délirants, et sa finition risible.

C'est dit.

A ce prix-là, bichon, tu ne prends pas grand risque.
Il s'agit d'un rpg tactique, bien dessiné, assez poivré, où le placement et les choix de compétences seront importants, au même titre que les personnages que tu embarques à l'aventure.
Si cette description te fait zouker, alors c'est parti.

Mouais. Conceptuel, barré, immersif et intrigant quelques minutes, le jeu s'avère être une déception au final, et ceux qui se souviennent d'un certain REZ ne s'y tromperont pas : derrière le trailer aguichant et des premières minutes de jeu assez cool, on est vite calmé par un jeu sans ambition.

Excellent jeu narratif, à l'ambiance soignée, qui se parcourt au moins 2 fois pour être pleinement savouré. Mon conseil est de ne pas vous faire spoiler et plutôt de vous lancer directement si le genre vous tente : car c'est assurément une belle pépite.

Design, doublages, musique et histoire sont très bien agencés pour une expérience mémorable.

Slay the spire avec du goût.

Tu aimes t'amuser avec un deck et avancer dans un contexte soigné, loin de l'horreur artistique de SLAY THE SPIRE ? C'est par ici que ça se passe bichon. Laisse-toi porter par des combats épiques, et paf et pif et bim.

Je suis sur World of Warcraft, épisodiquement, depuis le beta-test de 2005.

Bien sûr, son heure de gloire est passée.
Bien sûr; la folle époque est derrière (du lancement jusqu'à l'extension "Lich KIng" / "Le roi Liche").

Mais il reste toujours dans le top 3 des meilleurs mmo, à la fois actuels, et de tous les temps.

L'écriture, l'ambiance, le contenu, la technique, le suivi des clients/joueurs restent impeccables.
On ne peut pas demander à un jeu légendaire de redevenir ce qu'il a été avant, pas plus qu'on ne peut le vouloir d'un acteur, d'une chanteuse...
En 2018, WoW a beaucoup évolué, il n'est pas le même qu'en 2005 ni même en 2010, mais il reste très accueillant, truffé de choses à faire, de hauts-faits à relever, de territoires à découvrir, de personnages à rencontrer, de quêtes savoureuses à lire, de beaux donjons à écumer, d'artisanat à peaufiner, et bien sûr, de murlocs à dessouder.

Quand j'ai commencé, je sortais à peine de mes études, c'était ambiance donjon/raid de nuit, 2h de sommeil, et go boulot.
Aujourd'hui j'ai 2 enfants, je dors 7-8h, je baille devant l'écran vers 22h, je suis tout seul sur Azeroth, mais le bonheur est toujours au rendez-vous.
Précisément parce que Blizzard a su vivre avec son époque : de nos jours, on ne consacre plus autant de nuits blanches et week-ends sur un mmo, mais on veut notre dose. Notre petite dose de rêve.
Et WoW a su rester à jour. On peut penser ce qu'on veut de Blizzard, du fanboy au rageux.
Mais on ne peut pas contester qu'ils n'arrêtent pas de bichonner, mettre à jour, peaufiner, lécher leurs jeux.

Un bijou, surtout en coop' (de préférence à 3), mais très valable aussi en solo.

Un grand plateau de jeu aléatoire, farci d'événements, de rencontres, plusieurs modes de jeu, au tour par tour, dans une ambiance colorée et soignée. La musique est aussi une grande réussite.

Les développeurs ont beaucoup bossé, ça se voit, ça se sent, et à ce prix, c'en est ébouriffant.

Longues soirées à prévoir.

Ajoutez-moi sur Steam via mon profil IG pour discutailler de rpg, tour-par-tour, et autres.

Un vrai coup de coeur.

Le mix entre Civilization et Might & Magic, pour résumer, donne une bien bonne recette.

Gérer une expansion territoriale via la construction et l'entretien de cités; produire des unités et vivre des combats épiques au tour-par-tour; progresser dans les domaines technologiques, économiques, etc, et tout ça entre 2 quêtes intrigantes...
... c'est ça Endless Legends en quelques mots.

Je pourrais détailler, mais ce serait dommage car la découverte fait partie du plaisir.

Que ce soit clair, je déteste Sypro : ses grands environnements absurdes et vides, ses "ennemis" ridicules, ses dragons benêts qui font le tuto de façon maladroite, son "héros" lisse et inintéressant qui n'a pas 1/10 de la classe de Sonic, sa fantasy débile et écoeurante...

MAIS...

(pour toutes ces raisons)

... les enfants adorent et c'est le jeu idéal quand tu veux qu'ils te lâchent la grappe pour aller te prendre une douche.

Je suis tombé follement amoureux de ce jeu : un peu usée par la licence D&D, ou ses imitations, j'ai été enthousiaste à la découverte d'un nouveau jdr.
Pathfinder se trouve en magasins spécialisés (de bons gros livres de règles, bestiaires etc). Suis allé fouiner là dedans pour voir si ça valait le coup et si le jeu video en était la continuité. C'est le cas.

On retrouve une ambiance à la "Baldur's Gate" & cie, mais il y a aussi une réelle ambiance "de table". Un effort réel a été fourni en ce sens, et vous pouvez à titre d'exemple, refaire le prologue 3-4 fois pour obtenir des résultats différents,que ce soit la constitution de votre équipe, le butin ramassé, et la teneur des dialogues.

Beaucoup de classes, divisées en différentes vocations, s'offrent à nous dans un superbe écrin, et un gameplay iso / pause active. Le "tour par tour" promis n'est pas implémenté réellement. Du côté de la direction artistique, c'est un très beau travail, et j'apprécie aussi les petites idées qui simplifient les aspects forcément lourds de ce type de jeu, à savoir le micro-management, et les heures passées à ranger l'inventaire, se répartir les objets etc.
De ce côté, on est sur les pas de Pillars of eternity et autres RPGs qui ont dépoussiéré le genre.

Bien écrit, bien traduit, bien doublé (in english !), "PATHFINDER KINGMAKER" sait aussi aller droit au but sans nous noyer sous une intro longuette : à la manière de ce bon vieux "Icewind Dale", on ne tarde pas à baigner dans l'action. C'est un appel à la rejouabilité aussi.

Certains aspects peuvent être considérés comme des défauts (les quêtes en temps limité, la gestion du royaume, certaines options vicieuses comme le rapport entre vitesse et poids transporté....) mais je trouve l'idée culottée. C'est appréciable dans un monde de RPGs où l'on ne peut plus trop perdre. Pathfinder propose quelque chose d'assez hardcore, et je salue cette initiative.
Il en est de même avec le concept de "Dernier Azlant" ("Last Azlanti"), mode hardcore justement, où si l'équipe meurt, la sauvegarde est instantanément détruite.

Copieux, charnu, généreux, c'est un jeu qui ne demande qu'à vous passionner, jusqu'à parcourir le WIKI, aller en magasins voir les livres de JDR, traîner sur les forums pour débattre du port du bouclier et du meilleur choix de classe & spécialisation...

Un jeu passionnant pour joueurs passionnés.

Suis venu pour faire un p'tit combat vite fait, j'ai mangé 16h d'anime.

Ce jeu est un énorme tacos multi-couches, avec un mode story bavard de chez bavard; de l'arcade stylée; de l'entraînement pointu; du versus ébouriffant; des collections de persos et tenues.

Bref, énorme !!!

Overcooked 2 est un jeu intéressant car à double-tranchant.

Il peut vous offrir une excellente session, tout aussi bien qu'une soirée atroce, selon les joueurs que vous aurez choisi pour passer ce moment.

Cuisine coopérative en mode action débridée, sensations garanties, mais lesquelles ?
Ca dépend !

C'est aussi un jeu paresseux qui ne s'embarrasse pas d'un mode solo ou de modes alternatifs.

Overcook est un jeu à double-tranchant car il peut vous offrir d'excellentes sensations, ou des ondes négatives puissantes, selon les joueurs qui seront à vos côtés dans cette "simulation" de cuisine.

C'est aussi un titre paresseux qui ne s'est pas embarrassé d'un mode solo ni de modes alternatifs.

L'idée d'un rogue-like / survival en milieu post-apo, farci de zombies en gérant une équipe, c'est plutôt bon. On aurait aimé un tel gameplay dans les jeux Telltale de la franchise "The Walking Dead".

Du coup, c'est tentant, et ça peut se jouer : mais c'est assez mal réalisé.
A réserver aux affamés.

Excellente ambiance 1930 avec la Indiana Jones touch, pour des virées au tour-par-tour dans des déserts mal fréquentés.

On peut reprocher à PATHWAY de tout livrer de suite (en un seul run vous aurez déjà tout compris) mais son charme fait qu'on n'y voit pas le temps passer...

Fuyez. Ne cédez pas à l'attrait du rétro. C'est un piège.
Le jeu est laid, pas fluide, le tuto buggé (!) et l'ensemble se montre aussi sexy qu'une souche d'arbre mort après la pluie.

On lui préférera largement HORIZON CHASE TURBO sur Steam.

FF XIII a été conspué, boudé, banni, parce qu'il osait proposer une aventure plus linéaire, plus resserrée (au bout du 13ième épisode tout de même !).

Les fans n'ont pas compris, et à une époque de "mondes ouverts" de plus en plus vastes (...et vides !), ont craché sur ce joyau.

Déjà pour bien l'apprécier il faut le prendre en tant que trilogie : celui-ci + FF XIII-2 et FF XIII : Lightning Returns.

Ce premier épisode, c'est avant tout un gros scénario, où on ne vous prend pas pour un bébé. C'est une team de personnages forts. C'est une direction artistique de haute-volée. C'est un challenge audacieux et un roman graphique à la fois. Je suis vraiment fan et tiens à le défendre ici alors que je m'apprête à le racheter sur pc.

Vous aurez peut-être des soucis techniques, mais un patch, disponible et mis à jour par un moddeur a résolu tous les problèmes chez moi.
Il lui a été reproché aussi de ne pas proposer la liste des commandes manettes, alors que c'est juste dans les options. A un moment faut arrêter de basher.

Un bijou sous-évalué qui prend maintenant toute son ampleur, avec une petite nostalgie de voir ces héros si émus, et émouvants, dans leur jeunesse un peu kikoo, forcément. Lorsque j'avais leur âge, je les trouvais agaçants, mais pour peu que vous lanciez l'aventure après la trentaine, une petite touche de nostalgie et de tendresse va patiner l'ensemble.

En bref ?
Une île, des flingues, la nuit. C'est le jeu d'un week-end, car pas très long, pas très vaste, mais bien monté :)

Si vous le touchez en soldes (week-end Ubisoft), il ne faut pas hésiter.
Je vais démontrer comment et pourquoi, en deux sessions, je peux décréter que ce jeu est une tuerie.

1 - Far Cry 80's edition (goût "années 80")
Moi, j'ai toujours évité cette licence : trop "premier degré", "ricaine", "kikoo", "badass", pas assez subtile à mon goût. Or, cet opus particulier est différent : on est sur un trip années 80, sorte d'hommage aux films et jeux d'époque (sur de la synthwave), le tout saupoudré d'humour.
Pour peu que cette farce outrancière et caricaturale vous fasse marrer, il y a de bons moments.
Il n'est pas nécessaire d'avoir parcouru Far Cry 3 avant : l'histoire débute cash, et oscille immédiatement entre la nostalgie, la classe (le design étant très soigné) et la bonne blague. On est toujours entre 2 impressions, que ce soit devant les "cinématiques" complètement foutraques et farfelues, mais cool en même temps; ou en pleine action, dans ce décor superbe peuplé d'ennemis amusants.
Car ils vont parler bizarrement, ou dire des inepties, un peu comme dans Borderlands.

2 - Un jeu qui s'assume
L'équilibre était fragile, pour créer la recette parfaite, et Ubi l'a fait.
En assumant totalement ce parti-pris, en fonçant carrément dans ce sens, Blood Dragon réussit son coup.
Là où le genre de jeu (FPS / infiltration) peut rapidement sombrer dans le stéréotype redondant, de par les répliques des gardes ou les scènes narratives, le jeu se lance franchement dans la déconnade et sauve l'ambiance.
Le comparatif avec Borderlands est de rigueur, car dans les 2 cas, mettez tout au 1er degré, enlevez l'humour, et le plaisir est diminué de moitié.

Les objectifs surfent sur ce ton décalé ou bourrin, pour proposer les choses habituelles, mais sans l'aspect sérieux. Du coup, on va se ruer sur eux de façon décomplexée, y compris la collecte d'items "cachés" ou libérer la prochaine base entre deux missions.

Et puis c'est un jeu de flingues, quoi. On les customize, on les compare, on les adapte à la situation, et chacun d'eux trouve son utilité précise, son usage particulier, et la jouissance de ses tirs unique.

3 - Le rendez-vous des artistes
Tout converge vers une direction artistique mémorable.
Les graphismes chatoyants (halos de lumières flous sur textures nettes pour une impression de night-club 80's), l'interface de logiciel des années 1990, et une musique synthwave bien calibrée enrobent le bonbon.
En version française, toute la fine fleur du doublage s'est donnée rendez-vous, on retrouve un florilège de voix connues, très bien castées.
L'ensemble créé une saveur particulière, un coup de maître, il faut le dire, rare et précieux.

4 - Mumuse
Côté gameplay, comme tout se paramètre à loisir, et que plusieurs approches sont possibles pour le même objectif, la rejouabilité parait évidente.
D'ailleurs le système de checkpoints (critiqué !), notamment au début du jeu, va vous faire rerefaire les mêmes passages, et c'est l'occasion d'y essayer une autre tactique. Personnellement, comme la save n'a lieu qu'après la première mission (30-45mns de jeu), j'ai pesté de devoir reprendre, mais tout s'est bien passé finalement puisqu'on peut changer de style. Ensuite, sur l'île en accès libre, on fait mumuse comme on veut, à se ballader ici ou là. On est pas longtemps seul(e)..!

De +, l'expérience et la monnaie acquises permettent, à terme, de mieux se débrouiller, y compris, au même point, où on recommence parce qu'on y arrive pas.
La progression du perso, ET du joueur se fait en simultané, et ça m'a bien plu. Ce détail compte au même titre que l'ajout fréquent de nouvelles données dans le HUD pour comprendre ce qui se passe. On peut, ou pas, aller fouiller dans le data. Ce n'est pas imposé.

5 - Far Cry after all
Pour conclure : on se retrouve rapidement dans la situation-type d'un FC : une île, des points stratégiques à prendre, des otages à libérer, des guns et des bagnoles, et go, BB.
On se regen à gogo, sans temps mort, et on bouzingue tout ça mon pépère.
Mais le ton particulier de Blood Dragon en fait un opus à part, qui mérite franchement de s'y pencher, des années après.
Forcément, au bout de 4h on commence à voir le périmètre alloué et les différentes quêtes tourner en rond. Ce n'est pas "Fallout 4" non plus.
On y passera un week-end, et pourquoi pas y revenir de temps en temps ?

Le jeu a toujours un petit trait d'humour caché, jusqu'aux simples descriptifs des objets ou aux objectifs en cours, quand ce ne sont pas les commentaires des protagonistes qui partent en live.

Le seul reproche que je puisse lui adresser, c'est de se montrer si gourmand : ma tour de guerre le fait tourner tout smooth, mais pour ça elle souffle comme rarement. Et pour un jeu de cet âge, c'est un peu indécent :)

Je le trouve très attachant.
C'est un jeu qui s'assume pleinement ; "je suis un tactical, on va faire du tactical".
On ne s'embarrasse pas de blabla inutile, juste ce qu'il faut d'ambiance post-apo et des persos vraiment sympas à incarner.
Gameplay fluide et vite compris.
Par contre comme je suis nulle, ça va me faire longtemps !

Je déteste ce jeu, que j'ai pourtant acheté 2 fois pour lui laisser une chance.
Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas, mais ça s'explique. Alors j't'explique.

C'est niais, mièvre, dégoulinant et sirupeux, nanardesque et ne reste que les combats, assez sympa.
Ca ne suffit pas.

FF XIV ?

Il va dans le top 7 des meilleurs mmo de tous les temps, et surtout dans le top 3 actuel (ce n'est que mon avis, mais j'ai pas mal baroudé en mmorpg).

L'univers FF est non seulement respecté, mais déployé.
Le contenu s'avère gigantesque, dans un écrin de toute beauté, et avec un confort très appréciable.

Tu kifs farmer en fond de canapé / fauteuil avec une manette ? :^p)

Je suis venue poser mon évaluation car ça m'agace un peu de voir des grincheux mettre 20/100 à un énorme jeu sous prétexte que c'était dur de créer un compte, oh pauv' p'tit chou.

PAR CONTRE !... faîtes très attention si vous l'achetez ici, sans le logo Steam. Soit on achète la clef officielle Square-Enix, soit le jeu sur Steam, on ne peut plus mélanger après ! c'est l'un OU l'autre !

Je suis une grande fan de la saga, y compris les films (j'assume ^^) mais là, non.

Ok, c'est une bonne idée de prendre un nouveau virage, surtout après le 6, qui a tellement divisé les adeptes.
Je n'ai rien contre cette nouvelle direction, claustrophobe, solitaire, angoissante, et malsaine, en vue subjective. J'ai accepté ça. C'est très bien pensé.

Par contre, quand tu fais un jeu de cache-cache (car c'est ce dont il est question, hein), il faut que tout le monde soit réellement en train de se cacher / chercher.
Or, où que tu ailles, où que tu te planques, et même si tu essaies de changer un peu de direction et d'avis, les gros méchants-pas-beaux de RE7 vont pop sous ton nez.

Il n'y a pas de traque réelle, alors que c'était précisément LA SEULE CHOSE IMPORTANTE A ASSURER ICI.
Tu peux prendre le couloir de droite ou de gauche, peu importe, le mec va apparaître, et ça casse tout, car tu sais que la partie n'a pas vraiment lieu.

Endless Space 2 ou Stellaris ?

Si tu aimes l'exploration et la conquête spatiales, je dirais que les 2 sont intérressants.
C'est le même jeu, la différence se joue dans le détail.

=> Endless fait partie d'une licence, et s'accorde avec Endless Legends (races, esthétique, interface, événements en jeu...)
=> Les planètes se présentent sous forme de gros zoom immersif avec panoramique stylisé
=> Les ressources me semblent plus nombreuses ici
On colonise les galaxies, avec grosse micro-gestion de ressources qui fera passer ton bilan professionnel en Powerpoint pour des vacances. Les conditions de victoire sont à la carte, et la diplomatie prend une part aussi importante que l'économie ou la puissance militaire.

Personnellement je ne suis pas agressive, même en 4X, donc j'ai gagné ma 1ère partie via de bonnes relations diplomatiques et une économie débridée.

Par rapport à Stellaris, les différences peuvent influer ton choix mais grosso-modo c'est quand même "le même plat", la recette est juste un peu modifiée.

Fuyez pauvres fous.
Ne faîtes pas la même erreur que moi.
Puissent les générations futures se préserver de cette débandade notoire.
Cliquez sur "page précédente", et ne vous retournez pas.
Barricadez-vous et n'ouvrez à personne.
Si jamais on sonne, et qu'une voix dit : "C'est Stronghold 3", appelez le 911.

Darkest Dungeon, c'est la base.

C'est lui qui a marqué le retour du case-par-case / tour-par-tour en rogue-like (aucune vie supplémentaire et pas moyen de revenir à une sauvegarde antérieure, tout choix étant définitif).

Le scenario pourtant, tient en quelques mots : vous venez affronter un mal ancestral qui a émergé et il va y avoir de la casse. Le tout commenté par un narrateur dont la seule voix me fait mouiller.

L'esthétique dark-fantasy, le côté hybride avec des armes à feu, la création et l'entretien de la base, le système de stress des héros, qui partent en vrille au pire moment, les rage-quit, tout ça c'est le Darkest Dungeon qui l'a ramené sur le devant de la scène, suivi par une peuplade de copieurs moins inspirés.

Gloire au plus sombre des donjons.

Le jeu manque un peu d'ambition mais se montre clairement avenant et intéressant !

Les expéditions d'explorateurs, en mode XVII-XIXe siècle, c'est une bonne idée pour un jeu de plateau / rogue-like.
On peut donc lancer un run de temps en temps pour progresser, déverrouiller des choses, tenter sa chance...
Les mécaniques peuvent être subtiles, notamment la partie combat, qui propose des particularités ; humilier, amadouer, faire fuir...

Des petites extensions viennent ajouter un peu de plaisir en plus.
Ce n'est clairement pas un jeu "phare", c'est un petit en-cas à bouloter de ci de là... assez sympa.

Deep Skies Derelicts, c'est Darkest Dungeon dans l'espace.

On dirige une fine équipe, qui part pour un run, se déplace case-par-case et combat tour-par-tour.

Ca change de la fantasy et ça se joue plutôt bien. Manque de la vie pour être un grand jeu. C'est un peu trop statique à mon goût.

Ce n'est pas l'édition la plus chère ici, et pourtant la plus complète !...

Age of Wonders : Planetfall, kécessé ?

Un 4X (Explorer, Exploiter, Etendre, Exterminer), tout joli, sur une thématique SF.
De grandes cartes colorées, des cités à faire évoluer, des armées à optimiser, des combats au tour-par-tour, et tout ça sur la musique qui va bien.

Concrètement, c'est Age of Wonders 3, reskin science-fiction.

Et ça roxxe du poney :^)

A ce prix là tu hésites et viens scroller dans les commentaires ?
Franchement, t'es du genre méfiant comme gamer.

Ce jeu, c'est le bébé que Civilization a fait à Might & Magic.
AOW3 est un 4X (Exploiter Explorer Etendre Exterminer) medieval-fantasy.

On gère ses cités et on combat au tour-par-tour.
Tu enrobes ça avec des grosses campagnes bien dodues et un bon stock de personnages / races / compétences, et tu me manges ça non-stop car c'est vite addictif.

A prendre avec les extensions, c'est de la bonne.

Mon compteur affiche 67h de jeu sur une semaine de vacances.
Et j'ai essayé de ménager de bonnes pauses.
STELLARIS c'est un peu "Crusader Kings" dans l'espace.

Développer et défendre sa civilisation s'avère très addictif, méritant, et promet de grands moments.

Par contre, je trouve que c'est un truc de célibataire-fonctionnaire-associal.
Je vois pas comment gérer de si longues parties avec une vie très chargée.
Un jeu de vacances pour moi. Mais du genre, à CHAQUE VACANCES :D

Life is strange, c'est une série interactive, entre mystère, sentiments et fantastique.
Ne vous laissez pas tromper par le début un peu nunuche.
Il va vous cueillir et vous retourner comme une crêpe.
Je valide, mais ne venez pas pour le gameplay, on regarde, et on se tait.

Hunie Pop est une pépite. Un trésor caché.

Match-3 subtil (aligner des gemmes de même couleur par 3 ou +), jeu de séduction complet (beaucoup d'informations à gérer sur un bon roaster de filles), RPG décent (inventaire et items utilisables à foison), visual-novel de qualité (les textes s'avèrent très amusants), il offre un réel challenge et n'a aucun équivalent.

BB2 c'est BB1 en plus joli ♥

En théorie c'est du Warhammer sur un terrain de foot américain.

En pratique, c'est de la sueur, du sang, et des lancers de dés hasardeux.

Par contre, te faut casquer l'édition légendaire pour avoir les équipes, qui sont sorties au compte-goutte. Si ton porte-monnaie est plat, opte pour BB1 Chaos Edition, qui coûte moins cher qu'un café/croissant.

Tu aimes Skyrim ?
Hé bien, c'est Skyrim, dans le futur post-apo.

Pour l'écriture et les personnages, par contre, comme d'habitude chez Bethesda, tu repasseras.

Une vaste carte, farcie d'endroits à visiter, des armes et des publicités vintage pour une société de consommation des années 1940/1950, et des goules.
Ca te va ?

Juste quelques mots pour une précision :

Les blasés, les vieux routards, et autres geeks de la franchise vous diront qu'il n'y a que le multijoueurs, que les campagnes on s'en tamponne le coquillard.

Pas du tout. Je déteste le power-gaming, les parties où chacun va au plus vite pour défoncer l'autre. Quand vous embarquez pour les campagnes STARCRAFT II, vous partez pour des dizaines de missions, scénarisées, des objectifs variés, avec des personnages et des cinématiques à la Blizzard, mais aussi des choix, des Hauts-Faits.

RE6, l'épisode mal aimé, mal perçu, mal compris.

Pourtant c'est simple : depuis 1996 les gars faisaient plus ou moins le même jeu. Arrivés au 4 ils ont commencé à vitaminer la recette (passage à la 3D, et à la 1ère personne). Dans le 5 on a eu droit à la coopération (humaine ou IA).

Le 6 enfonce le clou, et donne un nouvel élan à la licence : plus pop-corn, plus vive, plus tournée vers l'action cinématographique, sans renier non plus les origines.

RE6 est copieux (4 campagnes, dont 1 seule suffirait à un survival-horror classique !), mode mercenaire solo & online, grosse production avec cinématiques bien travaillées, références aux anciens épisodes, bonus à déverrouiller.... et des options tout-confort, comme la vostfr !

En ce qui me concerne, c'est un coup de coeur.
Ensuite ils se sont (encore !) réinventés, et ça s'appelle Resident Evil VII.

Grosse déception. Si vous aimez les point n'click à l'ambiance de film / roman noir, avec une écriture subtile et des affaires palpitantes sous un enrobage inspiré, c'est pas ici.

Essayez plutôt "Bear with me" ou "Kathy Rain".

Contre toute attente (surtout à ce prix..!), voici un excellent beat'em all façon années 90.

L'enrobage est soigné, on a une direction artistique de qualité, un univers bien marqué, typé banditisme des jeux de baston à l'ancienne, avec une touche de fantasy par dessus. Ca peut paraître étrange, mais le cocktail est très bon.

Il dispose de plusieurs personnages et modes de jeu, notamment un versus (et il devient du même coup un jeu de combat versus, contre IA ou joueur réel, en local).
On peut customiser les avatars.
La musique suit l'exercice de style avec brio, et se mêle à une narration caricaturale, mais pas trop présente : on est clairement pas là pour le scénario, de toutes façons.

Enfin, la touche vintage est couronnée par une apparence "tv cathodique" à la fois très originale et agréable.

Moi qui hésitais à m'installer au Canada... :x

Vous aimez manger de la pâtée pour chien froide dans une boîte cabossée, à l'abri dans une cabane glacée battue par les vents, tandis que dehors un loup tourne et vous attend ?
Bienvenue au Canada.

Formule :
1/3 Don't Starve 1/3 Le territoire des loups 1/3 Skyrim = The Long Dark.

TLD est un jeu triste et rêche, froid et punitif.
Dit comme ça, forcémment...
Et pourtant.
Dès les premières secondes, on est sous le charme glacé de ce survival sur neige.
Perfect cocktail.
Coup de coeur.

* * * Au menu * * *

* Le <mode Histoire> vous propose, au fil du scénario, d'apprendre les bases de la survie en milieu post-apo et gelé; vous pourrez abuser des sauvegardes, ça ne vous sauvera pas si vous ne savez pas y faire. L'ambiance est excellente, le doublage très bon, la découverte excitante.

* Le <mode Défi> vous lance dans une excursion non sauvegardable : si vous quittez, c'est terminé. Le trip dure entre 1 à 3h selon les développeurs. Au programme, il faudra atteindre tel point en tant de jours, ou fuir un ours qui vous traque par exemple.

* Le <mode survie> vous place, en totale liberté, dans la situation de Don't Starve ou de tout jeu de survie ordinaire, le seul but étant d'aller "au plus loin". Vous pouvez quitter et revenir exactement au même point. En assumant ce que vous avez fait.

3 conseils importants :
1 - Spoilez-vous le moins possible (évitez les guides et soluces car le sel même du Long Dark est la découverte "à la dure" de ses mécanismes. Une fois assimilés, vous avez "terminé" la première partie du jeu (la seconde consistant à les pousser au maximum pour survivre le mieux possible).
2 - Ne vous découragez pas. La phase "purée mais j'en bave" est obligatoire.
3 - Ne visez pas trop haut au début. Survie en mode "pélerin" (facile) pour découvrir; ou bien en "voyageur" (normal), ou bien l'histoire, bien sûr. Ne jouez pas les surhumains, vous allez vous casser les dents et risquer le ragequit.

TLD est immersif au possible, visiblement assez travaillé, dans ses mécaniques et ses atours graphiques, tandis que la partie sonore s'avère parfaite.
La vue subjective est très bien conçue, l'interface correcte.
Sauf dans le scénario épisodique (dont tous les épisodes ne sont pas sortis quand j'écris ces lignes), vous pouvez choisir d'être un ou une survivant(e), ce qui change simplement le monologue.
Car vous allez parler seul(e), et pour cause : c'est l'apocalypse silencieuse.

La poésie d'un paysage enneigé, dans ce contexte "no future" vous prend carrément au ventre.
La lutte pour franchir chaque journée vous tient en haleine.
Point de zombie, pas de monstre, que du loup, de l'ours, du renne et du lapin.

Pour voir un peu de monde, il faut choisir le <mode histoire>. C'est le seul qui soit habité par d'autres humains que vous.
Les cinématiques et le scénario ne sont pas cultes, mais bien ficelés.

D'abord, la phase douloureuse : apprivoiser les bases.
Ensuite, les exploiter au mieux, prendre un grand bol d'air et se sentir l'âme exploratrice survivaliste.
Enfin, relever les défis terribles du mode dédié.

Et le raconter.
Car vous aurez quelques anecdotes en stock.

Outrepassez le premier contact revêche. Prenez votre mal en patience.
Depuis quand un jeu vous a traité de la sorte ?

Très bonne surprise et coup de coeur.
Nostalgique des vieux Final Fantasy et autres jeux au tour par tour, je me régale.
Une fine équipe, un enrobage soigné, des mécaniques huilées, pour un très bon RPG-tactique au tour-par-tour.
On se croirait chez Blizzard, entre Diablo et Warcraft côté palette graphique, et on sent un travail conséquent pour produire une oeuvre bien foutue.

Un point n'click au style retro, qui renferme un vrai mystère.

Ambiance soignée, doublages au top, et une immersion agréable via une héroïne un peu décalée.
Un vrai coup de coeur.

Ajoutez à cela un aspect "temps réel", puisque nous avons quelques jours pour le terminer, il y a comme un lien avec la vie réelle : au sens où, chaque chapitre est divisé en "journées".
Excellente idée.

Comptez 10-15h réelles en traînant.

C'est la meilleur version de BLOOD BOWL que vous pouvez trouver en numérique : la plus complète, et la plus abordable aussi. Chef d'oeuvre, selon moi, qui étais pourtant étranger à cet univers.

Les races de WARHAMMER jouent au foot en tour-par-tour... tout est dit. Violent, drôle, et assez aléatoire, c'est une vraie bonne surprise.

Bien sûr, il est hardcore, rageant, cruel, n'y allez pas si vous êtes un susceptible ou un mauvais perdant.
L'ambiance est folle, les commentateurs donnent le ton, les replays assurent le spectacle, et la sauce sera bien relevée.

Vous aurez fort à faire entre les modes solo, les sessions locales sur le canapé, et même le online.
On peut également créer son équipe de A à Z.

Il vous faut juste UNE souris.

Le II est plus joli; mais bien plus cher, et moins complet encore aujourd'hui.

Alors venez défourailler.

TESO est un vibrant hommage à la saga.
Si, comme moi, vous n'aviez PAS envie d'une version online, mais que vous attendiez un TES VI après avoir écumé Skyrim dans tous les sens...

Sautez le pas !
Vous oublierez que c'est un opus en ligne.
Quêtes bavardes, exploration méritante, artisanat passionnant, personnalisation captivante, dimension jeu de rôle épique, donjons solotables, c'est bien un Elder Scrolls.
Personnellement j'y vais seul : )

ATTENTION toutefois, les gens de STEAM (comme moi) si vous achetez le jeu sur IG il sera incompatible STEAM. Juste un "raccourci hors-Steam" sans temps de jeu affiché et sans possibilité de profiter des promos là bas.

The Elder Scrolls Online, et particulièrement sa gold edition, rendent un vibrant hommage à la saga.

Si, comme moi, vous n'aviez PAS envie d'une version online, mais qui vous attendiez TES VI après avoir écumé Skyrim dans tous les sens...

Franchissez le cap !
C'est avant tout un Elder Scrolls... option online. Les quêtes sont bavardes, l'exploration méritante, les donjons faisables sans groupe (dans une certaine mesure ^^), l'artisanat développé, la lecture de livres passionnante, la personnalisation captivante...
Vous oublierez que c'est un opus online.
Personnellement j'y vais seul : )

ATTENTION les gens de STEAM par contre (comme moi :x) si vous achetez ici, vous ne pourrez pas vraiment le mettre sur Steam. Juste un "raccourci hors-Steam" sans temps de jeu affiché, et sans possibilité de profiter des promos là bas.

Hearthstone est impeccable mais n'oubliez pas TES legends :D

Packs de cartes qui rendent accroc sans non plus nécessiter de dépenser beaucoup en euros, c'est à chacun de voir selon ses envies.

Idéal quand on aime l'univers de Blizzard.