
On regrette un manque de parti pris concernant la direction artistique néanmoins. On ne sait jamais vraiment si le jeu penche du côté occidental ou japonais du genre. Les poncifs sont hélas très présents (surjeu des acteurs, situations absurdes et dramas clichés, character design fade) alors que les bonnes idées puisées dans le savoir-faire occidental sont sous-exploitées. Dès les premiers pas à New-York, nous pressentions déjà la promesse fallacieuse d’une révolution dans la narration et l’esthétique. La suite nous donna hélas raison.
Le jeu, quoique subissant une vague d’avis négatifs de la part des joueurs et de la presse, continue de recevoir malgré tout des mises à jour et des correctifs. Ce qui, à défaut de pallier les réelles lacunes d’écriture, permet de corriger peu à peu les problèmes techniques. Cela ne suffira pas selon nous à relancer un quelconque intérêt pour une licence peut-être hélas déjà condamnée. Un jeu plus décevant que mauvais qui nous aura demandé beaucoup de volonté pour poursuivre l’aventure. C’est bien dommage !
Le jeu, quoique subissant une vague d’avis négatifs de la part des joueurs et de la presse, continue de recevoir malgré tout des mises à jour et des correctifs. Ce qui, à défaut de pallier les réelles lacunes d’écriture, permet de corriger peu à peu les problèmes techniques. Cela ne suffira pas selon nous à relancer un quelconque intérêt pour une licence peut-être hélas déjà condamnée. Un jeu plus décevant que mauvais qui nous aura demandé beaucoup de volonté pour poursuivre l’aventure. C’est bien dommage !